FOUGERES SITE TOURISTIQUE

Son histoire.

Tout d’abord pourquoi la ville de Fougères s’appelle ainsi ?

La ville porterait le nom d’un des premiers chevaliers chargé de la défendre, ou celui, tout simplement, de la plante qui proliférait dans la forêt. Cet endroit était, il y a très longtemps, un marécage de fougère.

“Thelypteris palustris, appelée en français fougère des marais, polystic des marais, polystic à bords roulés ou polystic des marécages est une espèce de fougère de la famille des Thelypteridaceae. On la trouve, comme son nom l’indique, dans les dépressions marécageuses, souvent associée à des aulnes.”

La création de Fougères remonte au Moyen Âge. On retrouve la première mention du château de Fougères vers la fin du xe siècle. C’était à l’époque une simple fortification en bois située sur une crête rocheuse, dont la position dominait avantageusement la vallée du Nançon et les marais environnants. Fougères se trouvait au croisement de deux voies romaines, l’une allant de Chartres à Carhaix et l’autre d’Avranches à Nantes. À partir du xiie siècle, la population s’éloigne de la rive du Nançon et la ville se développe plus en hauteur, partagée en deux paroisses : Saint-Sulpice pour la ville basse et Saint-Léonard pour la ville haute. Dès le Moyen Âge, l’activité artisanale se développe autour de la tannerie, des tisserands et des drapiers dans la ville basse.

La première fortification bâtie au xie siècle par les seigneurs de Fougères, défendue par Raoul II (1130-1194), est prise, avec la ville, par Henri II Plantagenêt en 1166 ; le château est rasé37. Raoul II, obstiné, la fera reconstruire en plus imposante, et elle deviendra une place forte défendant les frontières de la Bretagne, du mont Saint-Michel à Nantes.

Je vais vous mettre ici les photos d’une personne qui m’a transmis ces photos. Très intéressant de voir un si beau lieu de France, inconnu parfois de certains.

DEFINITION DU POT DE CHAMBRE

SON HISTOIRE

Le pot de chambre, appelé aussi vase de nuit, est l’ancêtre des “Toilettes” actuelles. Il était destiné à recueillir les déjections humaines la nuit, afin d’éviter de sortir de la chambre. Couramment utilisé avant l’installation des sanitaires, il disparait progressivement au cours du 20ème siècle. Aujourd’hui, il reste un moyen utilisé pour les enfants en bas âge. Il est aussi d’usage pour les malades ne pouvant quitter leur lit.

Le saviez-vous aussi, que le pot de chambre, avant la révolution, désignait un carrosse qui conduisait à la cour de Versailles ?

Toute son histoire.

La première apparition du pot de chambre remonterait au xie siècle, cependant l’apparition de l’objet est certainement bien plus ancienne puisque, parmi les graffitis les plus convenables trouvés sur les murs de Pompéi, on peut lire celui-ci, catalogué sous CIL IV 4957 : « Miximus in lecto, fateor, peccavimus, hospes ;
Si dices quare, nulla matella fuit
3 ». (Traduction :  Nous avons pissé au lit, nous avons eu tort, cher aubergiste, je le reconnais. Si tu veux savoir la raison, c’est qu’il n’y avait pas de pot de chambre ! ».

Au début du xixe siècle, l’objet est surnommé familièrement « thomas », puis quelques décennies plus tard « jules”.

Il faut savoir qu’au cours de repas, dans la Rome antique, les convives utilisaient en public des pots, qui n’étaient donc même plus de chambre, ils étaient parfois en argent, voire en or, pour montrer la richesse de l’hôte. On se lavait ensuite les mains, ou au moins le bout des doigts. Mais l’appellation «pot de chambre» pour ce genre de vases ne daterait que du XVIe siècle. Les pots de chambre étaient utilisés en Grèce antique depuis le VIe siècle av. J.-C. Au début du XIXe siècle, l’objet est surnommé familièrement «thomas», puis quelques décennies plus tard «jules» (pas Kalyan).

Les pots de chambre ont été fabriqués en bois, en céramique, en métal émaillé, et dans les derniers temps, vers la moitié du XXe siècle, en plastique. Une forme particulière d’urinoir portatif, le bourdaloue ou bourdalou, a été conçue pour les femmes. La forme ovale ou rectangulaire, avec une face permettait aux femmes d’uriner debout ou accroupie, sans grand risque d’erreur, et de préserver les vêtements. Ce pot de chambre en céramique fut utilisé au XVIIe siècle et au XVIIIe siècle par les femmes qui ne portaient pas de culotte à l’époque.

Légende ou réalité, le nom de bourdaloue viendrait d’un prêtre catholique français, Louis Bourdaloue (1632 – 1704), dont les sermons auraient été si longs et si prenants que les femmes ne voulaient pas en manquer et cachaient leur pot sous leurs vêtements de manière à uriner sans avoir à s’absenter. À cause de sa forme particulière, cet objet est parfois décrit comme une saucière, notamment dans les salles de vente.

En tout cas, voilà un objet qui peut s’avérer fort utile, si vous avez une envie pressante et qu’il n’y a pas de champ de canne à proximité. 

Source: Wikipédia

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