MAGASIN LEFROID TOURS

Installé en 1900 sur le boulevard Heurteloup, le magasin d’ameublement Lefroid s’agrandit et diversifie son offre. La percée donnant sur la rue de Bordeaux permet d’attirer une clientèle nouvelle : “Le grand passage”. Qui n’a pas connu celui-ci avec ses commerces et spécialement celui où il y avait crêpes et gaufres que l’on mangeait avec chantilly et sa cerise confite au centre ? Sa façade s’affirme comme emblématique de l’Art Déco. Racheté par le Printemps en 1965, l’enseigne est modifiée en 1984. La verrière centrale surmontée d’un pignon confère à l’édifice une forte monumentalité.

Le grand passage construction.

Vues d’un hélicoptère du cirque Amar en vol au-dessus de Tours.

Construction de la galerie du Grand Passage à Tours : des personnes regardant à travers des palissades de travaux en bois (scène jouée), vues de la destruction des anciens bâtiments entre le boulevard Heurteloup et la rue de Bordeaux (des hommes avec des pelles et des pioches et un bulldozer). Vues d’officiels lors d’un pot en extérieur autour de la maquette de la future galerie (sont notamment présents : M Riehl, un des commerçants à l’origine du projet, M. Chapel, préfet, et M. Guillaume-Louis, président du Conseil général). Vues de la construction de la galerie (pose de poutres métalliques, déplacement de parpaings, pose d’enduit puis de carrelages en intérieur).

https://memoire.ciclic.fr/2829-construction-du-grand-passage-a-tours

ABBAYE DE MARMOUTIER

Aujourd’hui Marmoutier est un établissement scolaire catholique  qui rassemble plus de 1 200 élèves et étudiants. L’enceinte renferme une Ecole , un  Collège, un Lycée général (1988), un Lycée technologique (1968), un Lycée professionnel, mais aussi un établissement d’enseignement supérieur depuis 1984.

Deux  internats filles et garçons de la sixième à la terminale y sont présents. 

Plus de détails ici :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_de_Marmoutier_(Tours)#Histoire_de_l’abbaye

Droits d’auteurs – carte postale personnelle (ne pas copier).

LE PONT D’AVIGNON

Un nommé Bénézet serait à l’origine de la construction de l’ouvrage en 1177 sur des restes de culées romaines.  A son achèvement en  1185 vingt-deux arches enjambaient le Rhône en formant une courbe de 920 mètres de long pour une largeur de quatre mètres.

S’il fut longtemps le seul pont permettant de traverser le Rhône entre Lyon et la mer Méditerranée, son utilisation était pourtant bien spécifique.

Trop étroit pour permettre aux charrettes de se croiser, il n’a jamais pu être utilisé à de pures fins commerciales. Le transport de marchandises dut être assuré par barque ou par barge.

En revanche, il permettait de contrôler efficacement le trafic et prélever les droits de péage, conformément au rôle de poste-frontière entre l’État pontifical et le Royaume de France qui lui était dévolu.

Endommagé tant par les crues que par les guerres, l’ouvrage fut reconstruit plusieurs fois, notamment entre 1234 et 1237.

En 1479, à cause des inondations, deux arches furent entièrement détruites. Aussi le roi de France Louis XI ordonna-t-il sa réparation par lettre patente royale datée du 10 octobre.

À la suite de la modification du lit du fleuve à l’époque du petit âge glaciaire,  une première arche s’effondre en 1603, ensuite trois autres en 1605, enfin toutes quatre sont rebâties vers 1628. En 1633, juste après la réouverture du pont, deux nouvelles arches s’effondrent. En 1669 une nouvelle crue du Rhône emporta plusieurs autres arches pour ne laisser pratiquement que celles qu’on lui connaît de nos jours.

Construit en 1901, par la Compagnie Fives-Lille, sous la Direction de Monsieur Geoffroy, ingénieur, il se compose de 8 travées et sa longueur totale est de 553 mètres. Il relie les deux lignes ferrées qui sont parallèles sur les rives du Rhône.

Droits d’auteurs – carte postale personnelle (ne pas copier).

LE VIADUC DE GARABIT

Ce viaduc se trouve dans le Cantal.

Le viaduc de Garabit est un viaduc ferroviaire, ouvrage d’art, de la ligne Béziers à Neussargues (dite aussi ligne des Causses), permettant le franchissement des gorges de la Truyère. Il est situé sur le territoire des communes de Ruynes-en-Margeride et Val d’Arcomie dans le département du Cantal en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ce viaduc est un projet de l’ingénieur des ponts et chaussées Léon Boyer qui en confie la finalisation et la réalisation à Gustave Eiffel et sa société. Le chantier de sa construction ouvert en janvier 1880 se termine en septembre 1884 et sa mise en service est effectuée en 1888 par la Compagnie des chemins de fer du Midi et du Canal latéral à la Garonne concessionnaire de la ligne. Cet ambitieux ouvrage métallique, long de 565 m, qui culmine à 122 m au-dessus de la rivière, est alors le « plus haut viaduc du monde »1 ; jusqu’en 1886, son arche était également celle ayant la plus grande portée au monde.

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