Le marché de Noël de Neuillé Pont Pierre se tiendra le :
- Samedi 13 Décembre 2025.
Lieu : Place Léonard de Vinci de 10h à 17h.

Une mamie heureuse
Le marché de Noël de Neuillé Pont Pierre se tiendra le :


Nous entrons dans le mois de novembre, un mois souvent redouté par beaucoup d’entre nous. Il porte en lui une certaine mélancolie, car il ravive le souvenir de ceux qui nous ont quittés : parents, amis, proches…
L’automne s’assombrit, l’heure a changé, les journées raccourcissent, la nuit tombe plus vite, et la lumière du soleil commence déjà à nous manquer.
Les vacances scolaires se terminent et la vie reprend son cours, doucement, presque silencieusement.
Le 1er novembre, jour de la Toussaint, est traditionnellement consacré au recueillement. Nous nous rendons sur les tombes familiales pour y déposer des fleurs, notamment des chrysanthèmes, afin d’honorer la mémoire de ceux que nous aimions.
Mais si cette journée nous invite à penser à nos disparus, n’oublions pas que leur souvenir vit en nous bien au-delà de cette date. Ils nous accompagnent chaque jour, dans nos gestes, nos pensées, nos histoires et nos cœurs.

Aujourd’hui 31 octobre c’est Halloween !
🎃 Halloween est une fête d’automne où l’on creuse des citrouilles, on se déguise et on part à la chasse aux bonbons. D’origine celtique, cette fête vient de Samhain, la nuit où l’on pensait que les esprits revenaient visiter les vivants. Aujourd’hui, Halloween est un moment joyeux et festif, rempli de lumières, de rires… et de petites frayeurs amusantes !
🎃 Halloween, c’est la fête où l’on se déguise pour s’amuser !
On creuse des citrouilles pour faire des lanternes,
on se déguise en sorcière, fantôme ou petit monstre rigolo,
et on va chercher des bonbons dans le quartier.
Autrefois, les gens pensaient que cette nuit-là, les esprits visitaient la Terre.
Aujourd’hui, Halloween est surtout une fête joyeuse pour rire, jouer et se faire un tout petit peu peur… juste pour plaisir 👻🍬


🥕➡️🎃 Pourquoi la citrouille ?
En Irlande, on sculptait des navets ou des betteraves pour faire des lanternes à l’image de Jack.
Mais quand les Irlandais ont émigré en Amérique, ils ont découvert la citrouille :
Elle est donc devenue la lanterne d’Halloween.

Le 14 juillet, est une fête nationale française. C’est à l’occasion, un jour ferié.
Le 14 Juillet en poésie :
Dans l’air vibrant des rues en liesse,
Le ciel s’habille de hardiesse,
Bleu, blanc, rouge au vent claquant,
Sous les pas fiers des régiments.
Le tambour bat, la foule chante,
La Liberté, douce et vivante,
S’avance encore dans les esprits,
Comme aux beaux jours de l’an Quatre-vingt-dix.
Des lampions dansent sous les arbres,
Les rires fusent, tendres et rares,
Et dans les yeux, un feu d’étoiles
Allume l’âme de la toile.
Sur les pavés qu’illuminent
Les pas joyeux des origines,
On fête un rêve né d’ardeur :
Justice, espoir, et dignité du cœur.
Car ce jour-là, l’Histoire éclaire
Le peuple uni, debout, solidaire,
Souvenant ceux qui, sans retour,
Ont fait la France libre un jour.
Alors, chantons, dansons encore,
Sous les fusées de l’aurore,
Car chaque 14 juillet nous lie
À l’éternelle envie de vie.
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Le 14 juillet de notre enfance
Le 14 juillet de notre enfance évoque bien plus qu’une simple fête nationale. Il représente un mélange de sensations, d’images colorées et d’émotions partagées. Voici une réponse en prose poétique, douce et nostalgique :
Le 14 juillet de notre enfance
Le 14 juillet, c’était le parfum de la liberté sans qu’on sache encore lui donner un nom.
C’était des matins d’été baignés de soleil, où l’on se réveillait plus tôt, impatients de vivre un jour pas comme les autres. Dans les villages comme dans les villes, tout semblait en fête : les drapeaux accrochés aux balcons, les fanions qui claquaient au vent, les vitrines décorées de bleu, de blanc et de rouge.
C’était la fanfare qui passait dans la rue, les majorettes en robe brillante, les tambours battant fort dans nos poitrines d’enfants. On regardait passer les pompiers, les gendarmes, les anciens combattants avec une admiration muette. On applaudissait sans trop savoir pourquoi, mais avec le cœur.
C’était surtout le bal du soir, sur la place du village ou au parc de la ville. Des guirlandes lumineuses suspendues dans les arbres, des chansons d’accordéon ou de variété, les adultes qui dansaient et les enfants qui couraient, insouciants, les pieds nus sur le gravier.
Et puis, le clou de la fête…
Le feu d’artifice.
On levait les yeux au ciel, bouche bée, les étoiles du 14 juillet éclatant en fleurs colorées au-dessus de nos têtes. On criait “Oooh !” et “Aaah !” à chaque explosion, en serrant fort la main d’un parent, d’un grand frère ou d’une amie.
C’était un soir où l’on se couchait tard, un peu collants de sucre et de poussière, mais le cœur joyeux, emportant dans nos rêves les éclats de lumière et les échos de la Marseillaise.
Le 14 juillet de notre enfance, c’était la France vue par les yeux d’un enfant : joyeuse, unie, pleine de promesses et de jeux sous les étoiles.

Nous voici arrivés au mois de juin, mois qui annonce l’été. La fête de la musique en guise d’entrée.

Le mois de juin est souvent associé à plusieurs choses :
– L’arrivée de l’été dans l’hémisphère nord
– Les vacances scolaires pour les élèves
En France, juin est également le mois des solstices d’été, où les jours sont les plus longs de l’année. C’est un mois qui symbolise la joie, la liberté et la célébration de la vie !
Qu’est-ce que juin représente pour vous ?
– Les mariages et les cérémonies en plein air
– Les festivals et les événements culturels
– La chaleur et les longues journées ensoleillées

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Bon 1er à tous.
Joli mois de mai, qui annonce les beaux jours, tu es le mois de l’année où tout se réveille.
Tu es l’espoir de tous à chacun, un avenir qui est prometteur de souhaits, et qui ravive nos coeurs.


Nous sommes le Dimanche 2 mars et nous fêtons toutes les mamies. En espérant une bonne journée.
Son origine est purement commerciale : elle a été créée par une marque de café en 1987, puis a connu un certain succès.
Historique :
La première fête des grands-mères a lieu en 1987 à l’initiative de l’association « Fête des grand-mères », créée par « Café Grand-Mère », une marque de café française originaire de Roubaix., appartenant à l’époque au groupe agroalimentaire Jacob Suchard. Roland Monica, alors Directeur de la marque, est à l’origine de l’opération.


Tout d’abord bonne journée à tous et bonne fête de la Saint Valentin.

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Au moment où la Saint-Valentin devenait une sorte de lieu commun journalistique, on voit quelques premières tentatives de commercialiser la date – d’abord sur le modèle anglais. En 1874, La Patrie nous apprend que la maison Rimmel « qui a la réputation à Londres de créer les plus coquettes Valentines, en expose cette année […] à sa succursale du boulevard des Italiens ». Il s’agissait d’une opération publicitaire – le même article, à peu de mots près, se retrouvant dans une demi-douzaine de journaux au même moment.
Sans réel impact ni suite, cependant. Les changements significatifs n’apparaissent qu’en 1938. Sur la Une du Jour du 13 février, entre des photos d’Hitler, des nouvelles tenues de soirée des « führerinnen » de la jeunesse hitlérienne, ou de la guerre d’Espagne, on peut lire dans une étroite colonne :
« Une grande nouvelle, mesdames, messieurs : le cœur revient à la mode ! »
C’est l’œuvre de la chambre syndicale des fleuristes de Paris : son secrétaire général, après avoir vécu quelques temps aux États-Unis, convainquit sa corporation d’essayer activement d’implanter la fête – en couvrant les murs de Paris d’affiches vertes où un cœur s’incline sur fond de fleurs.
Et, malgré l’imminence de la drôle de guerre, on voit bien l’année suivante, dans le Figaro, apparaître une publicité du fleuriste de l’avenue Victor Hugo, incitant à célébrer la Saint-Valentin avec un bouquet.
Il n’est pas impossible que le Gouvernement de Vichy ait tenté de tirer parti de cette évolution et de cette semi-tradition (comme pour la fête des mères), en février 1941, à l’aide d’une publicité en deux temps largement diffusée dans les journaux.
Question :
« Saint Valentin s’apprête à faire des heureux. Vous voudriez savoir comment ? Nous vous le dirons demain. »
Réponse :
« Il y aura, ce jour-là, tirage de la Loterie Nationale, avec 214 000 gagnants. Tâchez d’en être. »
Volonté d’ancrer un symbolisme ou hasard, le nombre de gagnants contient la date de la fête elle-même (2-14). C’est à ma connaissance le premier tirage en France expressément placé sous l’égide de la Saint-Valentin. On en retrouvera d’autres, comme en 1958, qui, si leur romantisme est douteux, ont au moins le mérite d’illustrer cette nouvelle période de l’histoire de la fête des amoureux en France, placée avant tout sous le signe du commerce et de l’argent.
Quoiqu’il en soit, la main est rapidement reprise par les fleuristes après la Libération. En 1948, Jacques-Laurent Bost, un proche de Simone de Beauvoir signant sous le pseudonyme Maury, décrit avec une joyeuse aigreur dans Combat « les vitrines de fleuristes […] recouvertes de cœurs épanouis, chaque bouquet […] accompagné d’une carte de visite », le tout orchestré par le ‘Comité de la saint Valentin’. » L’effort est lancé à coups d’affiches, de vitrines décorées…
…et d’un bon réseau.
Le comité continue d’opérer : en 1955, à Paris, un concours des couples heureux conduit les gagnants à une messe solennelle – et spéciale Saint-Valentin – à l’église Saint-Eustache, avant une réception à l’Hôtel de Ville, comme le rapporte La Croix. Pour le journalL’Aurore, en janvier 1950, l’initiative réussie d’implanter la Saint-Valentin rejoint une volonté d’échapper aux soucis de l’époque et aux angoisses internationales en fêtant l’amour « avec éclat ».
La récupération commerciale, moins romantique, n’est pourtant pas loin : quelques jours plus tard, à la veille de la Saint-Valentin et dans le même journal, les magasins Valentin achetaient un espace de publicité, faisant le parallèle entre « saint Valentin, patron des amoureux » et « Valentin, Roi des caoutchoucs ».


Tous ces beaux Gifs proviennent de chez Mamietitine : http://mamietitine.centerblog.net/rub-saint-valentin-.html
Bonjour à tous. Nous y sommes, l’année 2025 débute avec de la fraîcheur. Le réchauffement climatique se faisant sentir maintenant, nous n’avons pas eu de neige pour Noël comme d’habitude, et cela se répète d’année en année. Nous ne connaissons plus les vrais hivers des années, 60, 70, 80 où il y avait eu des gelées jusqu’à moins 18°, çà gelait même dans les tuyaux de canalisation.
Nous connaîtrons de plus en plus des tempêtes, des inondations ou des incendies…. Mais faisons le nécessaire pour parer à toute cette mésaventure.
En ce beau jour du 1er de l’an je viens vous présenter tous mes bons voeux de bonne santé principalement, mais aussi une année prospère.à tous vos désirs. 2025 sera peut être l’année du renouveau ?
BONNE ANNÉE 2025


Et nous voici arrivé au mois de décembre qui annonce bientôt la fin de l’année civile. Que c’est il passé en évènements pendant cette période là ?
Beaucoup de choses se sont produites, de Mauvais et de Bons aussi, heureusement.
Mais c’est une année, qui a été plutôt morose, que se soit au niveau financier, état d’esprit des gens inquiets pour l’avenir, les étudiants, la retraite, etc… Il a régné un climat anxiogène. En espérant que cette nouvelle année ouvre à de meilleures hospices. Gardons espoir et comme l’on dit : « l’espoir fait vivre ».
Mais en ce joli mois de décembre qui prépare Noël, des marchés gourmands ont lieu un peu partout dans la France, allant de créations artisanales, les circuits courts pour les produis locaux dit : « Bio » etc. Les rues se sont parées de belles illuminations qui redonnent un peu de vigueur et de joie.
Profitons de ce moment festif pour se retrouver ensemble pour ces fêtes de fin d’année qui nous ferons oublier le contexte actuel des choses. Que ce soit en famille ou entre amis.




Je vous souhaite à vous tous mes amis de passer Noël agréablement .