UNE HISTOIRE DE PATATE

🥔❤️ « La patate qui voulait fêter la Saint-Valentin en avance. »

🥔💞 « Coup de foudre au potager : la preuve en tubercule ! »

🥔😂 « Quand une pomme de terre décide d’avoir du cœur… et un sacré caractère ! »

🥔🌱 « Issue d’un amour interdit entre deux patates qui ne voulaient pas se quitter. »

🥔✨ « La seule patate qui te fait un câlin avant de finir en purée. »

🥔😍 « Légume ou message d’amour ? Moi, je vois un tubercule romantique. »

🤣🥔 « La patate qui a raté son casting pour devenir un cœur… mais qui insiste quand même. »

🥔💘 « Attention : tubercule très attachant. Risque élevé de coup de foudre. »

🥔😂 « La seule patate qui fait un V de victoire… contre le régime ! »

🥔😆 « Patate double… calories doubles ? On ne veut pas savoir. »

🥔🤭 « Elle a un cœur… mais toujours la peau dure. »

🥔🤣 « On m’avait dit d’acheter un kilo de patates, pas un message d’amour. »

1er DECEMBRE

« En ce 1er décembre, ouvrons une parenthèse légère : je vous propose de commencer par quelques petites histoires amusantes, histoire d’apporter un peu de sourire en ces temps parfois moroses. »

L’histoire de Paulette la Patate

Il était une fois, au fond d’un panier en osier, une petite pomme de terre nommée Paulette. Rien ne la distinguait vraiment des autres : elle avait la peau dorée, quelques yeux mal placés et une silhouette un peu bosselée. Mais Paulette avait un rêve… un grand rêve : devenir une purée de compétition.

Chaque matin, elle s’entraînait. Elle roulait d’un coin à l’autre du panier pour garder la forme, faisait des exercices de respiration… ou du moins l’équivalent pour une patate. Pendant ce temps-là, ses voisines – des carottes toujours bien alignées – la regardaient avec amusement.

— Tu perds ton temps, Paulette, lui disait l’une d’elles. Nous, on finira en soupe chic. Toi, au mieux, en frites du samedi soir.

Mais Paulette persistait. Elle savait que quelque part, une cuisinière bienveillante la transformerait en purée douce, chaude et réconfortante.

Un matin, Nicole ouvrit le panier. Son regard se posa sur Paulette.

— Tiens, toi, tu m’as l’air parfaite pour une bonne purée maison !

Paulette sentit son cœur — ou ce qui en tenait lieu — faire un bond. On la lava, on la coupa, on la cuisit… et elle devint, comme elle l’avait espéré, une purée onctueuse à souhait, agrémentée d’une noix de beurre et d’un soupçon de muscade. Toute la famille se régala.

Et Paulette, devenue purée de star, avait enfin réalisé son rêve.

Moralité : même une patate peut illuminer une journée.

On va l’appeler « Paulette ».


À propos

Qui suis-je ?

Depuis 2008, je blogue avec assiduité et ai créé au fil des années plusieurs espaces en ligne, chacun dédié à une thématique différente. Mon blog principal, “Mamieninette37”, ayant pris de l’ampleur et souhaitant lui offrir une présentation plus moderne et cohérente, j’ai choisi de lui donner une nouvelle identité. L’acquisition d’un nom de domaine plus adapté s’est alors imposée comme une évidence.

Mon parcours de blogueuse.


Blogueuse depuis de longues années, j’ai fait mes premiers pas sur la toile en 2008. Au fil du temps, j’ai exploré plusieurs plateformes, chacune marquant une étape différente de mon parcours numérique. Cette expérience m’a permis d’affiner ma manière de partager, de raconter, d’échanger… jusqu’à trouver, en 2019, un véritable point d’ancrage : WordPress. C’est sur cette plateforme que j’ai choisi de m’installer définitivement et de structurer mon univers en ligne.

Au départ, mon activité se concentrait sur un blog principal où je partageais un large éventail de sujets, guidée par mes passions, mes découvertes et l’envie de transmettre. Avec les années, mes centres d’intérêt se sont affirmés, et l’envie de créer un espace plus spécialisé s’est imposée. C’est ainsi qu’est né mon blog culinaire, dédié à la cuisine maison, saine, simple et savoureuse — un domaine où je prends plaisir à expérimenter, transmettre mes recettes et offrir des conseils pratiques. La cuisine est pour moi une manière de réunir, de créer et de raconter, et mon blog s’est naturellement inscrit dans cette démarche.

Parallèlement à mes publications culinaires, une autre passion occupe une place importante dans ma vie : la collection de cartes postales anciennes. Ce regard sur les lieux, les visages et les époques passées me fascine depuis longtemps. À travers mes trouvailles — notamment celles autour de Tours, ma ville natale, et de Neuillé-Pont-Pierre, où je vis aujourd’hui — je raconte aussi une part de l’histoire locale et familiale. Je partage régulièrement ces cartes postales sur internet, car elles constituent une richesse patrimoniale mais aussi un plaisir visuel et nostalgique que j’aime transmettre à d’autres passionnés.

Aujourd’hui, ma présence en ligne s’articule donc autour de deux axes :

  • un espace culinaire, où je propose recettes, astuces et réflexions autour de la cuisine maison, saine, bio et artisanale ;
  • un espace patrimonial et personnel, où mes cartes postales anciennes deviennent un fil conducteur pour évoquer l’histoire, les villages, les métiers d’autrefois et les souvenirs familiaux.

Mon parcours de blogueuse, riche de plus de quinze années de partage, continue de s’enrichir au gré des projets : livres, recherches personnelles, exploration du patrimoine et créations culinaires. Ce chemin, je le poursuis avec passion, curiosité et l’envie constante de transmettre.

UNE HISTOIRE DE CHAT

De Toulouse à Parçay-Meslay, un chat nommé Yuki a parcouru près de 600 kilomètres en seulement dix jours. Incroyable !

Le petit aventurier s’était échappé de chez ses maîtres le 10 novembre, semant l’inquiétude derrière lui.

Heureusement, l’histoire se termine bien : Yuki a finalement été retrouvé, pour le plus grand bonheur de ses propriétaires.

On aimerait tant que toutes les histoires d’animaux perdus connaissent une fin aussi heureuse… Article NR37 joint.

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LE PLASTIQUE SOURCE DE RÉFLEXION

Parlons-en du plastique !

Franchement… combien de gaspillage voit-on chaque jour avec les emballages ? Que ce soit dans l’alimentaire ou ailleurs, on croule sous des couches de plastique qui ne servent à rien.

Prenons un exemple qui va parler à tout le monde : le Babybel.

Chaque petit fromage est déjà protégé par sa fameuse cire — qu’on ne mange pas, soyons clairs — et malgré ça, on lui ajoute encore un emballage plastique… le tout rangé dans un filet. Sérieusement, pourquoi ? La cire suffit largement, et le filet aussi.

Et le plus drôle dans l’histoire ? À peine avais-je partagé cette réflexion que j’apprends que l’usine va remplacer le plastique par du papier recyclable. Bonne intention, certes, mais… pourquoi rajouter une nouvelle couche ? On ne mange toujours pas la cire ! Donc, encore une fois, aucune utilité. Le filet fait déjà le job.

Et les plats cuisinés ?

Autre grand classique : les plats préparés.

Prenons les hachis par exemple. On les trouve dans une barquette en métal… recouverte dessous d’un gros plastique rigide. Pourquoi ? On se le demande encore. Une simple protection sur le dessus suffirait amplement.

Et ce n’est pas le seul produit concerné : bien d’autres aliments sont conditionnés de la même manière, avec cette couche de trop dont personne n’a besoin. Tout ça alors qu’on nous répète qu’il faut réduire les emballages, limiter le gaspillage et faire attention au surplus.

Villaines-les-Rochers, village emblématique de la vannerie

Villaines-les-Rochers…

Un village où l’osier pousse comme une seconde nature, où chaque hiver voit renaître le geste patient de la récolte.

En ce moment, les brins se coupent dans le silence des champs, promesse de paniers, de formes et de savoir-faire tressés.

Au cœur de la vallée de l’Indre, Villaines-les-Rochers est depuis le XIXᵉ siècle l’un des hauts lieux de la vannerie française. Le terroir humide, idéal pour la culture du saule, a permis au village de devenir un centre important d’osiériculture. Les caves troglodytiques, nombreuses dans la falaise, offrent une humidité naturelle parfaite pour conserver l’osier.

Dès le milieu du XIXᵉ siècle, l’activité se structure grâce à l’abbé Chicoisne, qui encourage les artisans à s’unir. De cette dynamique naît l’une des premières coopératives artisanales de France, toujours active aujourd’hui. Elle a permis aux vanniers de traverser les crises, notamment celle de l’arrivée du plastique dans les années 1960.

La vie du village suit le cycle de l’osier : récolte hivernale, tri, décorticage au printemps (la « pèlerie ») puis tressage tout au long de l’année. Paniers, objets utilitaires, œuvres décoratives et créations contemporaines témoignent d’un savoir-faire vivant, transmis de génération en génération.

Aujourd’hui encore, Villaines-les-Rochers demeure un village d’artisans, où tradition et créativité se mêlent pour préserver et réinventer un métier ancestral.

Pour plus de détails voici le lien fb : https://www.facebook.com/profile.php?id=100039448550195&locale=fr_FR

UNE COUPE QUI DEFIE LE FROID

Bonjour à tous,

Une petite coupe redonne du pep’s dans cette saison frileuse.
Le matin se pare d’un voile de givre, les herbes scintillent sous les gelées, et l’air mord légèrement la peau. L’hiver avance à pas feutrés, fidèle à lui-même, mais toujours surprenant.

Dans cet écrin glacé, une question flotte doucement :
la neige viendra-t-elle danser à Noël ?
Souvent, elle reste au loin…
Mais peut-être, qui sait, déposera-t-elle cette année son manteau blanc sur nos toits.

MUNICIPALES 2026 À NEUILLÉ PONT PIERRE



Christophe Roy officialise sa candidature

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📌 Un candidat ancré dans la commune

Âgé de 54 ans, Christophe Roy, dont les origines familiales sont ancrées dans la commune, annonce sa candidature à la mairie de Neuillé-Pont-Pierre pour les prochaines municipales.

Après des études de commerce international et un BTS agricole, il a exercé la profession de commercial.

Son engagement municipal commence en 2014 et, en 2020, il accède au rôle de premier adjoint, chargé de l’aménagement, de l’urbanisme, de la voirie et du génie civil.

🗣️ Une candidature dans la continuité

Il précise :

« Ma candidature s’inscrit dans la continuité du travail accompli. Je n’ai aucun soutien politique et demande simplement celui des habitants. Je reste un homme de terrain, profondément attaché à ma commune. »

Et ajoute :

« Neuillé-Pont-Pierre occupe une position centrale dans le territoire de Gâtine-Racan, avec un potentiel de développement étroitement lié au label Petite Ville de Demain. »

Ses priorités annoncées :

  • Soutien à l’économie locale
  • Renforcement des liens intergénérationnels
  • Vision claire pour l’avenir de la commune
  • Équipe paritaire mêlant expérience et nouveaux candidats

🟦 Analyse / Opinion du blog

🔍 Continuité… ou volonté de changement ?

L’article du journal met en avant une candidature dans la continuité.

Or, une partie de la population exprime aujourd’hui un souhait différent : celui d’une rupture nette, d’un nouveau souffle et d’une approche plus participative.

🧭 Enjeux pour Neuillé-Pont-Pierre

Dans un village en évolution, où les attentes changent et où les habitants réclament davantage d’écoute, la question centrale sera :

La continuité suffit-elle, ou faut-il ouvrir une nouvelle page pour 2026 ?

Cette élection déterminera le projet de territoire pour les années à venir :

urbanisme, cadre de vie, attractivité, dynamisme associatif, cohésion entre les générations…

🗳️ À suivre…

Le débat ne fait que commencer. D’autres candidatures pourraient émerger, apportant peut-être une vision nouvelle — ou une alternative aux choix actuels.