SUITE AU FAITS DIVERS SUR NPP

Malgré la lumière remise en continue, même la nuit, les nuisances se font toujours autant.

Le vandalisme récidive, les vols aussi. Que faire ? A notre niveau pas grand chose, c’est au niveau politique qu’il y a problème. Prendre la chose à la base, ensuite le reste suivra.

Qui a supprimé la gendarmerie de proximité à votre avis ? Comme la police Municipale proche des habitants ? Cela a démarré sous la Présidence Sarkozy et les autres à suivre…

A quand une gendarmerie de proximité efficace ? Ne faisant pas juste que dissuader les gens, mais intervenir lorsqu’il le faut ? Beaucoup de questions mais qui seraient faciles a élucider et reviendrait tout comme avant.

Il est grand temps que tout change au plus haut sommet, pour que tout revienne à la normale et que l’on puisse dire à nouveau « IL FAIT BON VIVRE A NEUILLE PONT PIERRE ».

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LES GRAFITTIS DE KEITH HARRING

Le blouson d’Yves Mourousi recouvert de grafittis.

Qui est-il ?

Keith Haring, né le 4 mai 1958 à Reading en Pennsylvanie et mort le 16 février 1990 à New York, est un artiste, dessinateur, peintre et sculpteur américain.

Biographie 

À 18 ans, il suit des cours de dessin publicitaire à la Ivy School of Professional Art de Pittsburgh mais il se rend compte que ça ne lui convient pas, il se consacre alors à sa passion : le dessin. Il se sent vite enfermé dans cette ville et décide de partir à New York, afin de faire de nouvelles rencontres.

JEAN ROYER ANCIEN DEPUTE MAIRE

TOURS

(Tiré du livre : 37 Célébrités d’Indre et Loire) – Auteur : Pierre AUDIN

Jean Royer est né à Nevers (58) le 31 octobre 1920 et décédé le 25 mars 2011 à Saint Avertin (37). Homme politique français.

Son père était employé principal de banque et nommé en Touraine lorsque son fils n’avait que 6 ans.

Il fait ses études au collège Paul-Louis Courier de Tours puis entra à l’École Normale alors installée à Loches. A la fin de son parcours scolaire, il devient instituteur à Monts en remplacement d’un titulaire qui était absent. Sa fierté était d’avoir pu avoir un bon résultat, tous ses élèves étant reçus au certificat d’études. Il a Prévu un terrain de foot pour les jeunes et de créer ainsi une équipe dont il fut gardien de but.

C’est en 1942 qu’il fit connaissance de sa femme Lucienne également institutrice qu’il épousera deux ans plus tard.

Mais après le décès de son épouse en 1993, il se remaria en Suisse en 1995 avec une femme 25 ans plus jeune que lui. En 2004, victime d’une mauvaise chute , a fini sa vie dans une maison de retraite à Saint avertin. Il avait la maladie d’alzheimer et décéda à l’âge de 90 ans.

PREMIER DECEMBRE

Et nous voici arrivé au mois de décembre qui annonce bientôt la fin de l’année civile. Que c’est il passé en évènements pendant cette période là ?

Beaucoup de choses se sont produites, de Mauvais et de Bons aussi, heureusement.

Mais c’est une année, qui a été plutôt morose, que se soit au niveau financier, état d’esprit des gens inquiets pour l’avenir, les étudiants, la retraite, etc… Il a régné un climat anxiogène. En espérant que cette nouvelle année ouvre à de meilleures hospices. Gardons espoir et comme l’on dit : « l’espoir fait vivre ».

Mais en ce joli mois de décembre qui prépare Noël, des marchés gourmands ont lieu un peu partout dans la France, allant de créations artisanales, les circuits courts pour les produis locaux dit : « Bio » etc. Les rues se sont parées de belles illuminations qui redonnent un peu de vigueur et de joie.

Profitons de ce moment festif pour se retrouver ensemble pour ces fêtes de fin d’année qui nous ferons oublier le contexte actuel des choses. Que ce soit en famille ou entre amis.

Je vous souhaite à vous tous mes amis de passer Noël agréablement .

CHOCOLATERIE POULAIN BLOIS

Toute une histoire.

En 1847, ils étaient cinq confiseurs à fabriquer leur chocolat à Blois. Le 25 juin 1850, faisant face à la concurrence, la première publication Poulain paraît dans le Journal de Loir-et-Cher. En 1865, Auguste Poulain crée le slogan «Goûtez et comparez» qui remporte un formidable succès à travers toute la France

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De 1862 à 1872, Auguste Poulain fait construire sa première grande usine sur le site de « la Villette »2,4. En 1867, il construit un nouveau bâtiment servant à la fabrication du chocolat ainsi qu’à l’hébergement de sa famille. En 1872, il fait construire, au centre du domaine, le château de « la Villette », qui sert de nouveau foyer pour sa famille5. En 1879, la demande de chocolats étant de plus en plus forte, Auguste Poulain installe un nouveau bâtiment dans l’usine de « la Villette »2.

Ayant repris la direction de l’entreprise, son fils Albert Poulain décide, en 1884, de faire construire une nouvelle usine nommée « Beauséjour », sur le site de « la Villette »6. La nuit du 7 au 8 juillet 1918, un grand incendie ravage intégralement cette usine2,4. Elle est finalement reconstruite en 1918, juste après l’incendie, à la demande d’Albert Poulain4. Continuez la lecture ici :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ancienne_chocolaterie_Poulain_de_Blois#Bibliographie

Les 109 salariés de l’usine Poulain, situé à Villebarou près de Blois dans le Loir-et-Cher, sont soulagés. Le groupe Andros a décidé de reprendre le site dans son intégralité. Un plan de sauvegarde de l’emploi était mis en place, car l’usine devait fermer à la fin de l’année.

Reportage :

Une PUB des année 1980 – Souvenirs…

LE 1er ADJOINT AU MAIRE de NEUILLE PONT PIERRE (37)

Décès de Monsieur Christian Gillet (72 ans).

Ancien cadre et employé de l’agence crédit agricole de Neuillé Pont Pierre, Monsieur GILLET est devenu le 1er adjoint au maire de 1995 à 2020. 25 années au service de notre village : s’occupait des concessions du cimetière, l’aménagement du centre bourg, de la place Léonard de Vinci (mairie). Pris en charge également le suivi des bâtiments communaux et de la voierie. Il a aussi œuvré pour l’agrandissement de l’école Jacques PREVERT.

Il est arrivé à Neuillé Pont Pierre en 1977 avec sa femme Annie et ont eu trois enfants : Virginie, Emmanuelle et Sébastien, qui ont fait leur parcours scolaire dans les écoles de ce village. En plus de ceci ont participé dans des associations noviliaciennes.

Ses obsèques auront lieu vendredi 29 novembre à 9h en l’église saint Pierre de Neuillé, Suivi d’un dernier hommage au crématorium d’Esvres.
voici l’article paru dans la Nouvelle République 37 de ce jour.

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Ce que nous pouvons en conclure, c’est qu’en 2024 beaucoup de décès ont lieu ici, des jeunes et des moins jeunes jeunes aussi, mais qui restera une année morose.

CATEGORIES DE PATES EXISTANTES

Diversités de pâtes. Le saviez-vous ?

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/9/99/Pasta_2006_1.jpg

Les hélicordes sont des pâtes 100% sarthoises. La farine provient de la Chapelle Saint Aubin et les pâtes sont fabriquées à Yvré l’Evêque (72).

Voici la liste de pâtes que l’on peut trouver, il y en a un grand nombre. Ce sont les spécialités en général, d’Italie.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_p%C3%A2tes#Types_de_p%C3%A2tes

QUI ETAIT AMBROISE CROIZAT ?

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ambroise_Croizat

Texte de Alain MARTIN

Quand Ambroise Croizat est nommé au Ministère du Travail, (Ministre ds travailleurs et non Ministre du Travail) le 21 novembre 1945, 138 caisses de Sécurité sociale sont édifiées en six mois sous sa maîtrise d’œuvre et gérées par un peuple anonyme après le travail ou sur le temps des congés, « pour en terminer, selon les mots du ministre, avec l’indignité des vies et les souffrances de l’enfance ».

Quatre grands principes, fondements même de l’identité sociale française, feront la charpente de l’institution.

– L’Unicité : tous « les risques sociaux » (maladie, maternité, vieillesse, accidents du travail…) sont regroupés dans une seule caisse.

– La solidarité : un système de répartition entre actifs et non actifs, financé par les richesses créées dans l’entreprise, est la pierre angulaire de l’édifice.

– L’Universalité, sous tendue par l’idée de soigner toute la population et de suivre « dans sa santé, l’individu de sa naissance à son décès ».

– La Démocratie, c’est-à-dire la volonté de confier la gestion de l’institution aux bénéficiaires eux-mêmes.

Mais là ne s’arrête pas l’héritage de celui que l’on appelle déjà le « Ministre des travailleurs ». Il laisse à l’agenda du siècle ses plus belles conquêtes : la généralisation des retraites, un système de prestations familiales unique au monde, les comités d’entreprise, la formation professionnelle, la médecine du travail, le statut des mineurs, des électriciens et gaziers, la prévention dans l’entreprise et la reconnaissance des maladies professionnelles, de multiples ajouts de dignité au Code du Travail, la caisse d’intempérie du bâtiment, la loi sur les heures supplémentaires …etc.

Comme nous prévenait Croizat quand il nous avertissait qu’il ne fallait jamais parler « d’acquis sociaux mais de conquis sociaux car disait-il rien n’est jamais « acquis », on a l’habitude depuis 60 ans de crier à la destruction de la Sécurité sociale : ordonnances Jeanneney, plans Barre, Juppé, contribution sociale généralisée de Rocard, lois Fillon, Douste-Blazy, Touraine, autant de coups de boutoir contre cette formidable institution révolutionnaire arrachée à la Libération dans une France ruinée par 6 années de guerre.

Mais force est de constater que malgré ces attaques répétées, de la Sécu, il en reste. Près de 500 milliards d’euros échappent encore chaque année à la gestion purement capitaliste. Un pactole. Comment ce bastion assiégé a-t-il résisté envers et contre tout ? Grâce à une invention modeste et parfaitement géniale : la cotisation, principe fondateur de la Sécu, « seule création de richesse sans capital. La seule qui ne va pas dans la poche des actionnaires mais est directement investie pour le bien-être des citoyens », disait Croizat. C’est bien grâce à ce mécanisme de cotisations dans des « caisses » abondées et gérées par les travailleurs – et sur lesquelles l’État n’a donc pas la main – que les plans successifs n’ont pas pu rogner la Sécu au-delà de ce qu’ils ont déjà fait.

C’est à cela que s’attaque Macron aujourd’hui en supprimant les cotisations salariales chômage et maladie, transférant le financement de la Sécu à l’impôt et aux patrons 

À leur bon vouloir, donc. Après l’avoir affaiblie pendant 50 ans, ils tentent aujourd’hui de tuer la Sécu en l’« étatisant ».

Et c’est bien pareil pour notre système de retraite par répartition qui souffre lui aussi des mêmes maux : manque de cotisations. 

Là où devraient donc être normalement constatés des excédents de l’ordre de 20 Md€ chaque année, le siphonage de la Sécu par l’Etat ne laissera donc subsister qu’un maigre excédent de 1 Md€. Cela passant pour l’essentiel, comme il était à prévoir, par le financement par la Sécu de la bascule du CICE : ce qui était jusqu’à présent crédit d’impôt, -pesant ainsi sur le déficit de l’Etat-, devient à partir de 2019 une réduction de cotisations sociales patronales, donc supportée par la Sécurité sociale sur ses ressources, une exonération qui ne sera pas compensée.

Il est temps de se relever, et de réclamer plutôt l’extension du principe simple de la cotisation à d’autres domaines pour « Mettre définitivement l’homme à l’abri du besoin, en finir avec la souffrance et les angoisses du lendemain ».  Et pour que « la retraite ne soit plus l’antichambre de la mort mais une nouvelle étape de la vie » comme le voulait Croizat.

(Ceci concerne le financement retraite – sécurité sociale. – chômage.). Explications.