La prison, qu’on appelle aussi centre de détention ou pénitencier, est un lieu où l’on enferme des personnes condamnées par la justice. Ce sont les prisonniers ou détenus.
Par extension, le mot « prison » désigne aussi la peine d’incarcération elle-même :
→ « Il a été condamné à cinq ans de prison. »
Lorsqu’une peine de prison ferme est prononcée, la personne doit rester enfermée pour la durée décidée par le juge : cela peut aller de quelques mois à plusieurs années, jusqu’à 20 ans, et parfois à perpétuité. Pendant ce temps, elle ne sort pas, car elle doit purger sa peine.
Où est l’égalité ?
Une question se pose :
Pourquoi certains citoyens semblent-ils traités différemment des autres ?
Pourquoi une distinction entre les gens ordinaires, les classes moyennes… et ceux qui ont argent, influence, pouvoir ?
Pourquoi la prison peut-elle paraître plus sévère pour certains, et beaucoup plus « aménageable » pour d’autres ?
Ce décalage crée un sentiment d’injustice.
Or la justice devrait être la même pour tous.
Un exemple qui choque
Un ancien Président de la République affirmait avec fermeté que tout délit répété mérite une sanction exemplaire.
Lui-même a été reconnu coupable dans une affaire judiciaire. Pendant des mois, les médias ont annoncé une condamnation à cinq ans de prison.
Mais, au final, cette peine s’est transformée en une incarcération de vingt jours.
Vingt jours seulement.
Ce décalage laisse un goût amer.
Il donne l’impression que lorsqu’on est puissant, la prison change de sens, qu’elle devient négociable, réduite, adoucie.
Pourtant, la justice devrait être aveugle, impartiale, égalitaire.
Un citoyen reste un citoyen.
Qu’il soit boulanger, professeur, infirmière… ou ancien chef d’État.
La loi ne devrait faire aucune différence.
Et lorsque cela arrive, c’est bien la confiance dans la justice qui se fissure.
Le tueur de Tours, Jean-Pierre ROUX DURAFFOURT, a fait beaucoup de victimes en 2001, tirant sur tout ce qui bougeait autour de lui.
Petit rappel :
Le 29 octobre 2001, la ville tranquille de Tours bascule dans l’horreur et la sidération. Armé de son fusil et au hasard de sa marche dans l’hypercentre, Jean-Pierre Roux-Durraffourt, un cheminot discret, tue et blesse plusieurs passants.
Une stèle aux noms des victimes a été installée sur le boulevard Béranger (en face du palais de justice).
Stèle installée sur le boulevard Béranger (en face du palais de justice) en souvenirs des victimes. (Photo personnelle)
Un criminel sorti de prison et pouvant accomplir tous ses droits civiques me paraissent improbable. Quand on voit l’horreur de ce jour, on ne peut croire qu’il va revenir au risque de récidiver.
Ghislaine Villeret, la sœur de l’acteur Jacques Villeret, intervient au sujet de l’article paru le 28 octobre dans la nouvelle République 37. Ce n’est pas ce qui est mentionné du tout.
« Il était mentionné que l’entretien de la tombe de l’acteur était bien entretenu par les locaux ou les gens de passage ». Mais Elle tenait à rectifier ce tte erreur, car pour l’entretien c’est elle même avec son père de 91 ans qui entretien les lieux et non la commune.
Screenshot
Je suis entièrement d’accord avec elle de vouloir rectifier la vérité sur l’entretien de la tombe de son frère. Ghislaine Villeret aperçue dans les locaux où je travaillais à l’époque, paraît être une personne très gentille qui ressemble de beaucoup à son frère. Et que j’appréciais beaucoup.
L’histoire commence à Paris en 1837, dans l’atelier de harnais ouvert à Paris par Thierry Hermès rue Basse-du-Rempart. Dès le début, il comprend et anticipe les attentes de ses clients, leur désir d’épure et de légèreté dans une ville qui bruisse du mouvement de la modernité.
Thierry Hermès est le fondateur de l’entreprise Hermès International. Il est né en 1801, à Krefeld, en Allemagne. Vers l’âge de vingt ans, Thierry Hermès gagna Paris où, en 1837, il ouvrit sa première manufacture, rue Basse-du-Rempart (aujourd’hui disparue), près de l’église de la Madeleine.
Le couple passera les dernières années de sa vie à Neuilly-sur-Seine. C’est là que Thierry Hermès rend son dernier soupir en 1878.
six générations d’artisans
Depuis 1837, génération après génération, la maison Hermès suit une double trame, celle du travail minutieux de l’artisan et celle du mode de vie de ses clients. Portée par un esprit de liberté et de création jamais démenti, Hermès manifeste une sensibilité et une attention constantes aux évolutions de la société et de ses besoins.
Il va bien falloir y songer malheureusement ! Eh oui. Voici de nouveau l’heure d’hiver qui prendra effet le dernier dimanche d’octobre, c’est à dire le 26.
Nous reculerons d’une heure nos montres et pendules ce qui nous fera dormir une heure de plus ! Oui peut être, mais encore un décalage qui va encore dérégler notre système biologique.
Pourtant en 2019, un sondage était passé pour rester ou non : heure d’été ? ou heure d’hiver ? Le Parlement européen avait voté cette année là, mais avec le COVID cela a été reporté. Donc nous continuons pour le moment
L’été s’achève et l’automne ouvre ses portes. Une belle saison où tout ce qui était en fleur se meurt et où la verdure jaunit. Les arbres se parent de dorures éclatantes, leurs feuillages semblant capturer les derniers rayons du soleil. Chaque pas sur les sentiers devient musique légère, rythmée par le craquement des feuilles mortes, tapis fragile aux mille couleurs. Le vent, parfois discret, parfois joueur, les emporte dans une danse virevoltante avant de les déposer au hasard du chemin.
Pourtant, je n’aime pas cette transition, cette période d’octobre à novembre. Les journées s’amenuisent, la lumière se fait rare, et le changement d’heure vient troubler notre rythme intérieur, comme une dissonance imposée. Puis arrive novembre, mois de la Toussaint, où les pensées se tournent vers nos défunts, ramenant une mélancolie silencieuse. Le noir m’insupporte, car je ne respire vraiment que sous la clarté du soleil, ce compagnon lumineux qui me réchauffe et me redonne vie. ☀️
Et puis, doucement, décembre s’installe. Le froid devient plus vif, mais les lumières renaissent au cœur des villes et des villages. Les décorations illuminent les rues, les maisons s’ornent de guirlandes scintillantes, et la nuit n’est plus tout à fait noire. Les marchés de Noël, les parfums d’épices et de bois brûlé emplissent l’air, rappelant que même au cœur de l’hiver, une chaleur particulière nous rassemble. Alors l’obscurité se fait complice des lueurs, et décembre, avec ses fêtes et ses promesses, vient réenchanter la saison.
Le soleil brille haut, les valises se ferment à peine, et les routes se remplissent de vacanciers en quête d’évasion. C’est le mois des longues soirées, des barbecues improvisés, des rires partagés en famille ou entre amis. Entre plage, montagne ou jardin, juillet sent bon la liberté retrouvée et les journées qui semblent ne jamais finir.
c’est aussi ça : l’oubli du quotidien, le stress est en berne, mais les rires sont là ! Que c’est bien les vacances après des mois et des mois de travail !