Un lieu boisé longeant la Loire, endroit très calme et agréable, qui permet de se ressourcer et de profiter idéalement de la verdure, d’arbres également, au bord d’un fleuve » la Loire » redonne vigueur, surtout par un beau temps de septembre.
Par contre, ma surprise fut grande, lorsque l’accès voitures qui était autorisée de différents côtés, celles-ci fut obstruées par des morceaux de béton, sauf un côté. Cela m’a donc posé question 🤔🤔 Et donc je ne me suis pas arrêtée à ce doute, l’informatique est bien utile en pareil circonstance. D’après les belles photos que j’ai pu faire, celle-ci faisaient ressortir les endroits exacts de positionnement. Ce qui m’a permis d’aboutir à un résultat de réponse concluante.
Endroit de détente et de dépaysement complet.
Ci-dessous l’emplacement exact sur le plan d’après mes photos.
Tout d’abord pourquoi la ville de Fougèress’appelle ainsi ?
La ville porterait le nom d’un des premiers chevaliers chargé de la défendre, ou celui, tout simplement, de la plante qui proliférait dans la forêt. Cet endroit était, il y a très longtemps, un marécage de fougère.
« Thelypteris palustris, appelée en français fougère des marais, polystic des marais, polystic à bords roulés ou polystic des marécages est une espèce de fougère de la famille des Thelypteridaceae. On la trouve, comme son nom l’indique, dans les dépressions marécageuses, souvent associée à des aulnes. »
La création de Fougères remonte au Moyen Âge. On retrouve la première mention du château de Fougères vers la fin du xe siècle. C’était à l’époque une simple fortification en bois située sur une crête rocheuse, dont la position dominait avantageusement la vallée du Nançon et les marais environnants. Fougères se trouvait au croisement de deux voies romaines, l’une allant de Chartres à Carhaix et l’autre d’Avranches à Nantes. À partir du xiie siècle, la population s’éloigne de la rive du Nançon et la ville se développe plus en hauteur, partagée en deux paroisses : Saint-Sulpice pour la ville basse et Saint-Léonard pour la ville haute. Dès le Moyen Âge, l’activité artisanale se développe autour de la tannerie, des tisserands et des drapiers dans la ville basse.
La première fortification bâtie au xie siècle par les seigneurs de Fougères, défendue par Raoul II (1130-1194), est prise, avec la ville, par Henri II Plantagenêt en 1166 ; le château est rasé37. Raoul II, obstiné, la fera reconstruire en plus imposante, et elle deviendra une place forte défendant les frontières de la Bretagne, du mont Saint-Michel à Nantes.
Je vais vous mettre ici les photos d’une personne qui m’a transmis ces photos. Très intéressant de voir un si beau lieu de France, inconnu parfois de certains.
Je parlais l’autre jour de cette pelote basque, que j’avais vu lors d’un voyage à Guéthary.
Je ne savais pas qu’il existait un open National de pelote basque à tours. Je l’apprend en voyant cet article. Là ce sport se déroulait en salle, les Tourettes à Tours Nord, sans fronton, mais les distances longueur et hauteur correspondaient pour pratiquer ce tournoi.
Vous connaissez ce sport ? d’où il est originaire ?
Le grand chistera est l’une des vingt-deux spécialités de pelotes basques reconnues par la Fédération Française de Pelote Basque.
Le chistera a été inventé en 1857 à Saint-Pée-sur-Nivelle par Jean Dithurbide, dit « Gaintchik. L’instrument était alors court et relativement plat. On jouait limpio, c’est-à-dire sans temps d’arrêt dans le gant. Peu à peu, le chistera a évolué et une version plus longue et plus profonde a commencé à être utilisée. Le grand chistera est apparu pour la première fois en 1892. Il est dérivé du petit chistera, joko garbi, qui se joue avec un chistera plus court et moins profond.
Lorsque je suis allé au pays basque il y a de cela très longtemps, j’ai pu voir de près ce jeu qui pour moi sortait de l’ordinaire et que je trouvais très intéressant. Mais ceci ne doit pas s’apprendre en une journée, il faut une certaine compétence je pense. C’est très physique je dirais encore plus que le tennis car la force de la balle qui va à une vitesse considérable et la recevoir dans la chistéra demande une certaine dextérité, adresse et force.
VOICI le jeu en lui même que j’ai pu voir à Guéthary :
Le Grand Chistera à Guéthary, spécialité de la Pelote Basque est pratiqué par le club de l’Olharroa. 2 équipes de 3 joueurs (deux avants et un arrière) s’affrontent sur un fronton (mur de face) sur une aire de jeu en plein air longue de 100m. La pelote (balle) doit toucher le mur de face. A tour de rôle, un joueur de chaque équipe la réceptionne dans son chistera et la renvoie sur le fronton. Chaque joueur peut l’attraper de volée ou après un rebond. L’équipe qui fait le point bénéficie de l’engagement. Les parties se déroulent en 40 points. Durée d’ne partie : 1H/1H30 Vous apprécierez la virtuosité et la technique des joueurs dans le maniement du chistera qui propulse la pelote à plus de 200 km/h. Le compteur de point annonce le score et chante les points (tradition). Des juges (arbitres) supervisent la partie.
La tenue des joueurs : Pantalon blanc, polo de couleur.
Un jour de février 2019, j’étais de passage au Mans (sarthe).
J’ai pu apercevoir le circuit du Mans, qui fait tant la renommée.
Les 24 Heures du Mans sont une compétition automobile d’endurance d’une durée de 24 heures, se déroulant en juin sur le circuit des 24 Heures, un circuit routier du sud de la ville du Mans qui emprunte une section du circuit Bugatti.
Cette épreuve existe depuis 1923 et est l’une des trois courses les plus prestigieuses au monde avec celle de Monaco et les 50 miles d’Indianapolis.
C’est en 2017, lors d’un week end aux Sables-d’Olonne.
Une visite s’impose au Château d’Olonne en vendée (85) pour voir le Puits d’enfer où a eu lieu un fait divers. De nombreux Touristes se déplacent pour voir ce lieu mystérieux, une faille entre deux rochers où les vagues s’engouffrent et se fracassent contre ceux-ci. Ce nom lui a été donné je pense, par sa forme et sa profondeur qui ressemble bien à un puits.
Très impressionnant et effrayant.
Trou énorme dans les rochers ressemblant bien à un puits.Ici la faille où la mer s’engouffre dedans.On entend ici la mer s’engouffrer dans cette faille et se fracasser contre les rochers.
Voici ce qui est dit sur cette histoire.
Ce fait divers remonte au 7 février 1949 où un groupe scolaire découvre avec stupeur, une malle flottante avec un corps ligoté et bâillonné d’un homme. Un crime s’était produit ici. L’alerte est donnée et une enquête est ouverte. Ce qui conduira les policiers vers Paris (la victime étant un Parisien) et se terminera par l’arrestation d’Andrée Farré qui est une vendéenne de Cholet.
En effet, lorsqu’Andrée était âgée d’une dizaine d’années, cela lui arrivait souvent de se promener au bord du site avec son grand-père qui était commerçant aux Sables d’Olonne.Tout en se promenant, celui-ci lui narrait des histoires que l’enfant écoutait avec attention.
Puis lui dit « tout ce qui tombe dans cette faille disparaît pour toujours ». Ce que sa petite-fille a bien gardé en mémoire.
Andrée, née d’une famille aisée, deviendra veuve et sombrera dans une vie peu brillante. Elle trouve un emploi comme gouvernante chez un rentier Robert Thelier.
Mais comme celui-ci avait beaucoup de bien, elle décida de le supprimer.
Elle entraîne dans cette rocambolesque affaire, un dénommé Robert Planet, un homme falot, qui ne maîtrise en rien son destin.
Robert Thélier est ligoté et roué de coups pendant plusieurs heures. Finalement, d’après l’autopsie qui sera effectuée durant l’enquête, sa mort est survenue par strangulation. Pour se débarrasser du corps à jamais elle pense à la faille du Puits d’enfer. Pour ce faire elle organise un macabre périple depuis Paris avec une énorme malle sur le toit d’une voiture.
La malle est jetée dans les eaux bouillonnantes du Puits d’enfer.
Défendu par Me René Floriot, Planet bénéficie de circonstances atténuantes et est condamné à 20 ans de travaux forcés. Pour Andrée Farré, considérée comme une éthéromane et une mythomane dénuée de tout sens moral, la sentence est la peine capitale.
Le Président de la République Vincent Auriol transformera sa peine en réclusion à perpétuité.