LES J.O 2024

 Ce que coûte le passage de la flamme olympique par département : 180000€ et ce qui avait été demandé à la ville de Tours (par exemple) débourser 7000€. C’est pourquoi Tours a refusé et bien eu raison. Il vaut mieux privilégier les associations sportives et la commune qui est le principal atout pour les habitants. 

Cette année l’engouement pour les JO n’est pas au beau fixe pour beaucoup. L’argent appelle l’argent mais n’a plus le label d’être sportif. Pourtant ceci aurait dû être une joie, une fête, de voir tous ces athlètes évoluer chacun dans leur discipline, comme autrefois, mais là rien, aucun enthousiasme. Rien à voir avec le passé. 

Quand l’économie fait défaut, que les factures augmentent, qu’on diminue les acquis sociaux, qu’on durcit le droit au chômage, que l’on touche à la retraite, la santé, les hôpitaux, l’école, et que l’on voit tout cet argent qui est brassé ça fait vraiment frémir. 

De plus, au niveau de la Capitale, Paris, les riverains vont se voir frustrés pour aller et venir, aller travailler, car ils leurs faudra un pass. Quand on voit aussi que les étudiants de ce secteur sont expulsés pour louer les appartements à des prix exorbitants, que le prix des billets pour voir une catégorie sportive seulement, atteint un prix  considérable, on comprend mieux pourquoi le désintérêt des Français est de mise. Cela n’est fait que pour les riches et non pour les petites gens comme nous. 

Le sport se forge sur l’argent qui passe au premier plan. LAMENTABLE ! 

LES JEUX OLYMPIQUES PARIS 1924

Si les Jeux de Paris en 1924 sont aujourd’hui considérés comme un très bon cru olympique, marquant le succès de l’olympisme comme de la ville, sa préparation n’a pas manqué de susciter des polémiques, et de nombreuses critiques – qui évoquent d’ailleurs largement celles d’aujourd’hui.

Alors que les premières olympiades d’hiver viennent à peine de se terminer à Chamonix le 5 février 1924, la presse française, après quelques bilans, se projette immédiatement sur ce qui représente un événement de taille, la VIIIe Olympiade qui fera de Paris le centre du Monde. S’il est vrai que les journaux ne sont pas aussi mobilisés que l’ensemble des médias en 2024, cette compétition ne laisse personne indifférent avec au cœur de l’organisation le Comité olympique français (COF) qui, créé en 1894 – et qui ne deviendra le CNOSF qu’en 1972, siège au 30 rue de Grammont à Paris sous la présidence de Justinien Bretonneau-Clary (1913-25) ou « comte Clary » auquel Pierre de Coubertin a passé la main en 1913.

Au cours de ces quelques mois de derniers préparatifs, la tension monte, des questions se posent et les journalistes se mobilisent parfois pour encourager, souvent pour dénoncer le projet, au diapason de Parisiens quelque peu déboussolés par le gigantisme de l’événement.

Logement, vie quotidienne : les Parisiens en souffrance ?

Alors que la France connait alors une forte crise du logement, le COF recherche activement et « fiévreusement » des solutions de logement. Il faut dire qu’à Chamonix, un problème s’est vite posé : les hôteliers attirés par l’appât du gain ont augmenté les prix des chambres de manière considérable, ce qui a fait scandale. Au dernier moment, certains athlètes ne sont pas venus, craignant de ne pas trouver de logement. Le même problème se profile à Paris

https://www.retronews.fr/sports-et-loisirs/long-format/2024/04/16/preparatifs-des-jeux-olympiques-1924

Mais qu’est-ce que Colombes ?

Colombes, un temple de la modernité et son lot de galères

https://www.retronews.fr/sports-et-loisirs/long-format/2024/04/16/preparatifs-des-jeux-olympiques-1924

Informations tirées du site de presse « RETRONEWS ».