L’image illustre l’évolution du téléphone portable à travers quatre étapes clés, présentées côte à côte sur un fond beige sobre : 1. Téléphone des années 1980 : • Très grand et épais, de couleur gris foncé. • Doté d’une antenne proéminente et d’un clavier à gros boutons. • Représente les premiers téléphones mobiles, lourds et uniquement dédiés aux appels.
2. Téléphone à clapet des années 1990-2000 : • Format pliable, plus compact. • Petit écran et clavier physique en dessous. • Icône de l’ère des SMS et de la portabilité.
3. Téléphone monobloc à touches (début des années 2000) : • Petit, rectangulaire, avec écran couleur et touches numériques. • Représentatif des Nokia et autres modèles robustes. • Capable d’envoyer des textos, de jouer à des jeux simples, voire de prendre de petites photos.
4. Smartphone moderne : • Design très épuré, entièrement tactile, avec un grand écran. • Bouton unique en bas (type iPhone). • Symbole de l’ère numérique : internet, applications, appareil photo, GPS, etc.
Cette évolution montre le passage d’un outil fonctionnel et rudimentaire à un objet multifonctionnel indispensable au quotidien.
Et qui va encore évoluer…
Le téléphone : évolution rapide d’un outil de communication
Le téléphone est un dispositif permettant la transmission de la voix à distance. Inventé en 1876 par Alexander Graham Bell, il a d’abord fonctionné grâce à des lignes filaires. Au fil des décennies, il est passé du téléphone fixe au téléphone mobile, puis au smartphone, intégrant de nombreuses fonctions comme la photographie, l’accès à Internet et les applications.
L’évolution majeure s’est faite avec :
Les téléphones portables (années 1980-1990) : mobilité et miniaturisation.
Les smartphones (depuis les années 2000) : convergence technologique (téléphone, appareil photo, GPS, ordinateur).
Les réseaux (du 1G au 5G) : amélioration de la vitesse, de la qualité des appels et de l’accès à Internet.
Aujourd’hui, le téléphone est un outil multifonction, essentiel à la vie quotidienne, professionnelle et sociale.
Que de distraction avec çà et de la patience aussi.
Le Scoubidou est un loisir créatif du début des années 1960, qui a ressurgi dans les années 1980, puis maintenant (2017).
Qui occupe bien les enfants.
À l’aide de fils plastique souple de section millimitrique, on tresse d’interminables boudins colorés – carrés ou polygonaux, droits ou torsadés – qui peuvent être utilisés en porte-clés. Il est possible de faire d’autres scoubidous plus complexes (triangulés, en croix…) voire des personnages, objets ou animaux selon l’imagination du créateur.
Droits d’auteurs – carte postale personnelle (ne pas copier).
Roger Pierre : né le 30 Août 1923 à Paris est mort le 23 Janvier 2010 au Port-Marly, il est un acteur humoriste français.
Il est notamment connu pour son duo comique avec Jean-Marc Thibault, duo qui donnera lieu à de nombreux spectacles, plusieurs longs métrages, d’innombrables chansons et des émissions de télévision de Maritie et Gilbert Carpentier comme « Les grands enfants ». Un de leurs sketches les plus célèbres est La Guerre de Sécession.
Jean Marc Thibault : né le 24 Août 1923 à Saint-Bris-Les-Vineux (Yonne) et mort le 28 Mai 2017 à Paris 7ème. Il a connu la célébrité à travers son duo comique avec Roger Pierre. https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Marc_Thibault
Un sabot est à l’origine une chaussure réalisée en creusant un morceau de bois pour que le pied puisse s’y glisser. Il est fait d’un seul tenant. La discipline s’appelle le « sabotage », et le métier, le « sabotier ».
Le sabot est né entre 1480 et 1520 et s’est bien développé dans les populations françaises.
Saint René est le patron des sabotiers. On ne connait pas précisément l’histoire des compagnons sabotiers sous l’Ancien Régime. Des descriptions semi-légendaires mentionnent une organisation compagnonnique semi-tribale, dans les loges au sein des bois, lieu de la principale matière première. Le réseau de solidarité aurait été plus ou moins maintenu après la dispersion vers les lieux habités.
Mais le sabot a laissé d’innombrables souvenirs, contes et histoires, car il n’est nullement oublié lors des rituels spécifiques des multiples mondes paysans.
Nous avons bien connus l’époque des sabots dans les champs, les fermes même encore dans les années 60. Dès que nous allions chercher le lait ou les oeufs à la ferme, nous constations que les personnes enchaussaient leurs sabots pour se rendre aux endroit précis de la ferme : vaches, poules etc. C’était bien une autre vie que maintenant.