
Suite à cet article, cela me fait réagir aussi.En effet, cette mise en vente a été faite sans concertation. Cela devait être relocalisé sur le site « Polaxix » à Neuillé Pont Pierre, où tout a été préparé, pensé, l’emplacement prévu, les raccordements en eau et de gaz effectués.
« Installé à Joué-lès-Tours, le Fournil du Val de Loire avait un projet de construction d’une nouvelle usine à Neuillé-Pont-Pierre. Le projet semble compromis : le groupe AgroMousquetaires met en vente son unité de production de pain de mie et viennoiseries ». https://www.lanouvellerepublique.fr/indre-et-loire/commune/joue-les-tours/fournil-du-val-de-loire-on-passe-d-une-nouvelle-usine-a-une-cession-1747941326
Cela ne se décide pas seul !
Réaction de Mr AUGIS, maire de Joué les Tours : https://www.jouelestours.fr/vente-du-fournil-du-val-de-loire-retrouvez-la-reaction-de-frederic-augis-maire-de-la-ville-de-joue-les-tours
Commentaire de la société : https://g.co/kgs/ovgXpjQ
Précision sur ce commerce :https://www.mousquetaires.com/nos-filiales/agromousquetaires/nos-poles-de-performance/filiere-cereales-agromousquetaires/
PANIFICATION
Depuis 1996, le site de production du Fournil du Val de Loire se consacre à la panification fraîche et à la viennoiserie industrielle.
Situées à Joué-lès-Tours, en Indre-et-Loire, les quatre lignes de production de l’usine fabriquent des pains de mie, des brioches et des viennoiseries, à raison de 30 676 tonnes annuelles.
Le Fournil du Val de Loire et ses 150 employés travaillent pour trois marques du Groupement Les Mousquetaires :
- Chabrior,
- Netto
- Top Budget.
L’unité de production est certifiée et labellisée ISO 50001, IFS Food, Bio et Bleu Blanc Cœur.
Conclusion :
Avec cette décision brutale, encore 160 salariés se retrouvent sur le carreau ! Quelle HONTE ! De plus, si certaines personnes ont prévues de se rapprocher de Neuillé et ont fait des frais d’achat de maison, par exemple, ceci se retrouvent avec des frais supplémentaires qu’ils n’auraient pas fait autrement. Je soutiens ces pauvres salariés qui ne demandent qu’à travailler mais on leur retire le pain de la bouche si l’on peut dire.