Cela fait 50 ans (1/2 siècle en quelque sorte) que celui-ci fut creusé.
Le 28 Juillet 1975 le lancement des travaux était prononcé en présence du maire de Joué les tours, Raymond Lory, puis Jean-Baptiste Perchaud de Ballan Miré, le Député d’Indre et Loire André Georges Voisin. Le projet était déjà en pourparler en 1960. Mais inauguré finalement en décembre 1977.
Le 1er Février 2025, un article NR nous révélait son identité et les mesures prises durant tout ce délais.
Le fameux lac de Joué les Tours (les Bretonnières).
Vous vous souvenez du paquet de lessive Bonux où il y avait des jouets à découvrir à l’intérieur ?
A l’occasion des 50 ans de la marque, le Cadeau Bonux se réinvente et s’oriente vers le numérique pour le plus grand bonheur des petits et des grands. Un cadeau branché qui colle à notre époque et à l’idée de partage familial. Retour vers les 1000 cadeaux Bonux !
Mais le virtuel ne remplacera pas les objets ou jouets que nous découvrions en plaçant la main dans la lessive avec ses grains de couleurs bleu,blanc,vert, et qui avait un parfum ! Hum hum, j’ai l’odeur qui me remonte au nez rien que d’y penser. Au moins, on avait plaisir de palper, de toucher les objets ou jouets, on avait plaisir à découvrir sur place ce que l’on allait avoir, ceci était bien concret. Maintenant le virtuel, avec la vie qui a changé et évoluée en numérique, ceci ne nous fera pas oublier pour autant, les souvenirs d’antan…
Les jeux de 52 cartes sont basés sur le calendrier grégorien :
il y a 4 couleurs pour les quatre saisons de l’année, 12 figures pour les 12 mois, 52 cartes pour les 52 semaines et la somme de tous les points d’un jeu de 52 cartes plus le joker est de 365 pour les 365 jours de l’année.
Le total de chaque couleur donne 91 points (les valets, dames et rois valant respectivement 11, 12 et 13 points), ce qui donne en multipliant par quatre 364 points, auquel on ajoute un point de joker. Un jeu classique est livré avec 2 jokers, ce qui donne alors un total de 366 pour les années bissextiles.
Pour ceux qui habitent actuellement à Tours ou y ont vécu, cette clinique était très connue dans les années 1973/74 et très réputée.
L’inauguration a eu lieu le 7 Décembre 1973 et dès son ouverture celle-ci y a vu de nombreuses naissances, dont ma fille à l’époque, puis les années qui ont suivies également.
Je me suis renseignée aux archives départementales, pour connaître sa date de création et en quelle année cette clinique a fusionné avec d’autres établissement similaires. Et voici la réponse que je vous retranscrit :
« La Clinique du Parc, qui se trouvait 12 allée des Tilleuls à Chambray-lès-Tours, a fusionné en 2008 avec trois autres cliniques tourangelles pour former le Pôle Santé Vinci 1 avenue Alexandre Minkowski à Chambray-lès-Tours (tél : 02 47 22 21 11).
Nous conservons les dossiers de l’architecte Jacques Boille qui a construit cette clinique en 1972-1973.
La date d’inauguration apparaît sur le carton ci-joint : 7 décembre 1973″.
En parlant de Bruxelles dans une conversation soudain je me suis posé la question : pourquoi les choux de Bruxelles ? ce nom en particulier et l’origine ? Je me suis penché sur cette question qui m’a amené à ceci :
Le chou de Bruxelles serait un dérivé du chou de Milan. Il doit son nom aux habitants d’une ville voisine de Bruxelles, en Belgique. Au XVIIème siècle, afin d’optimiser leur rendement, les maraîchers de Saint-Gilles créèrent une nouvelle variété de chou qui se cultivait à la verticale et prenait ainsi moins d’espace.
La journée mondial du pull de Noël, « Christmas Jumper », se situe chaque année, le troisième vendredi du mois de décembre. Les amateurs de pulls de Noël s’empressent d’enfiler ces pièces colorées, ornées de père Noël, de rennes, de flocons de Neige, d’ours polaire, de sapins.
Cette tradition est née dans les années 50. Tricotés par les mères et les grands-mères, ils n’avaient pas à l’origine vocation à être « moches ». Ils étaient ornés de motifs rappelant la saison hivernale et offerts en cadeau aux enfants et petits-enfants qui les portaient pour les fêtes de famille.
C’est dans les années 1980 que les pulls moches de Noël font leur apparition sous les sapins, ils deviennent le cadeau par excellence, offert par les grands parents. Les pulls de Noël ou « Christmas jumpers » en anglais, aux motifs extravagants – rennes, sapins, flocons ou même Père Noël dans des positions humoristiques, sont rapidement devenus une source de moquerie affectueuses.
L’idée d’une fête bâtie autour de ce traditionnel cadeau est, elle, apparue au début des années 2000, grâce notamment à la sortie d’un film mondialement connu « Le Journal de Bridget Jones ». Dans ce film, on retrouve Colin Firth portant un énorme pull vert en laine avec pour motif central une tête de renne. Très rapidement après la sortie du film de nombreuses « Ugly Christmas sweater party » ont été organisées. Dans un premier temps lors de soirées à thème dans les universités puis lors de repas de Noël. Le phénomène s’est rapidement étendu à travers le monde, jusqu’à devenir une tradition bien ancrée, célébrée aujourd’hui dans plusieurs pays.
Cette année cela tombait le vendredi 20 décembre 2024.
En 1847, ils étaient cinq confiseurs à fabriquer leur chocolat à Blois. Le 25 juin 1850, faisant face à la concurrence, la première publication Poulain paraît dans le Journal de Loir-et-Cher. En 1865, Auguste Poulain crée le slogan «Goûtez et comparez» qui remporte un formidable succès à travers toute la France
De 1862 à 1872, Auguste Poulain fait construire sa première grande usine sur le site de « la Villette »2,4. En 1867, il construit un nouveau bâtiment servant à la fabrication du chocolat ainsi qu’à l’hébergement de sa famille. En 1872, il fait construire, au centre du domaine, le château de « la Villette », qui sert de nouveau foyer pour sa famille5. En 1879, la demande de chocolats étant de plus en plus forte, Auguste Poulain installe un nouveau bâtiment dans l’usine de « la Villette »2.
Ayant repris la direction de l’entreprise, son fils Albert Poulain décide, en 1884, de faire construire une nouvelle usine nommée « Beauséjour », sur le site de « la Villette »6. La nuit du 7 au 8 juillet 1918, un grand incendie ravage intégralement cette usine2,4. Elle est finalement reconstruite en 1918, juste après l’incendie, à la demande d’Albert Poulain4. Continuez la lecture ici :
Les 109 salariés de l’usine Poulain, situé à Villebarou près de Blois dans le Loir-et-Cher, sont soulagés. Le groupe Andros a décidé de reprendre le site dans son intégralité. Un plan de sauvegarde de l’emploi était mis en place, car l’usine devait fermer à la fin de l’année.
La manoeuvre à effectuer sur un téléphone portable, je mets la vidéo trouvée sur le net d’abord, ensuite je mentionnerais la procédure à effectuer pour moi qui possède un iphone, qui n’est pas du tout le même procédé.
Prendre une photo – je monte la photo bien délicatement jusqu’au détail de celle-ci – je clique sur instructions de lavage – et là j’ai l’affichage de tous les symboles.
( grâce à cet exemple finalement j’ai pu découvrir la vraie procédure pour moi).
Créé en 1925 par le militant breton Morvan Marchal, le Gwenn ha du s’affiche désormais comme le symbole incontesté de la Bretagne.
Neuf bandes alternativement noires et blanches, accompagnées d’un semis d’hermines, neuf pays, neuf évêchés : tel est le Gwenn ha du, le drapeau de la Bretagne. Le noir pour les pays gallo : Rennais, Nantais, Dolois, Malouin, Penthièvre ; le blanc pour les pays bretonnants : Léon, Trégor, Cornouaille, Vannetais. Un drapeau synonyme de diversité et d’unité.
Le Gwenn ha du signifie littéralement « noir et blanc », couleurs historiques de la Bretagne. Mais comment peut-on expliquer la composition du drapeau breton ?
– Les mouchetures d’hermine sont au nombre de 11. Le choix de ce nombre précis ne représente rien de particulier et demeure à ce jour inconnu. En revanche, l’hermine en tant que symbole n’a rien d’anodin. Mais nous y reviendrons plus tard
– Les quatre bandes blanches représentent les quatre pays de la Basse-Bretagne : Bro-Leon (Léon), Bro-Gernev (Cornouaille), Bro-Wened (Vannetais) et Bro-Dreger (Trégor). Le territoire de la Basse-Bretagne occupe la partie sud et occidentale de la région bretonne.
– Les cinq bandes noires représentent les cinq pays de Haute-Bretagne : Bro-Sant-Brieg (Saint-Brieuc), Bro-Zol (Dol), Bro-Sant-Maloù (Saint-Malo), Bro-Roazhon (Rennes) et Bro-Naoned (Nantes). Quant à lui, le territoire de la Haute-Bretagne occupe la partie orientale de la Bretagne.
La disposition s’inspire grandement de la bannière étoilée des États-Unis d’Amérique ou bien même du drapeau grec.
Origines du Gwenn ha du
Comme dit précédemment, les éléments dont dispose le drapeau de la Bretagne s’observent dans les armoiries de la ville de Rennes. On y retrouve les mouchetures d’hermine ainsi que les bandes blanches et noires, cette fois verticales.
Mais l’hermine et les couleurs blanches et noires ne sont pas réservés à la ville de Rennes. Auparavant, depuis le Moyen-Âge jusqu’à la création du Gwenn ha du en 1925, de nombreux drapeaux, blasons et autres armoiries utilisaient le blanc et le noir. Ces couleurs proviennent directement de la bannière blanche mouchetée d’hermine noire. Comme de nombreux autres symboles bretons l’hermine possède des origines anciennes.
Souvent, l’attribution du Gwenn ha du en tant que couleurs de la Bretagne s’est faite lors de la Guerre de Succession de Bretagne entre 1341 et 1364. On retrouve ces couleurs avec la croix noire (Kroaz du) utilisée par les templiers bretons ainsi que sur le pavillon à croix noire herminée qui se présente en tant que véritable ancêtre de l’actuel drapeau breton. Ce pavillon fut beaucoup utilisé par les ports bretons et flottes bretonnes au XVᵉ et XVIᵉ siècles.
L’hermine sur le drapeau breton
Pourquoi l’hermine se retrouve-t-elle sur le Gwenn ha du ? En quoi l’hermine bretonne représente-t-elle si bien la Bretagne dans son ensemble ?
Tout d’abord, il faut savoir que la moucheture noire de l’hermine représente en réalité sa queue qui, l’hiver venu, est la seule partie de sa fourrure qui reste entièrement noire.
La première apparition connue de l’hermine dans l’héraldique provient du blason “brisé” de Pierre de Dreux, duc de Bretagne. Originellement destiné à une vie au sein de l’Eglise, il aurait fait ajouter la bannière d’hermine au blason de son père afin d’y symboliser la pureté, à l’instar du lys français. En effet, l’hermine était autrefois exclusive au clergé.
Une autre provenance, plus légendaire cette fois, mettrait en scène Anne de Bretagne lors d’une partie de chasse, fut impressionnée par le flegme que lui évoquait une hermine préférant se laisser tuer par les chiens que de traverser une étendue boueuse. Elle gracia l’hermine et en fit son emblème. La devise de la Bretagne provient également de cette légende :
“Kentoc’h mervel eget bezan saotret” (”Plutôt la mort que la souillure”, pour les non bretonnants)
L’emoji drapeau breton
C’est l’histoire d’une union entre la Région Bretagne et l’association www.bzh qui, au mois de janvier 2020, ont lancé la campagne Twitter #EmojiBZH. L’objectif ? Convaincre le consortium Unicode à faire rentrer le Gwenn ha du au panthéon des emojis utilisables dans le monde entier et sur toutes les plateformes de médias sociaux.
Excepté les drapeaux de l’Écosse et du Pays de Galles, Unicode n’a activé aucun autre drapeau régional. À l’occasion de la représentation de la France par le groupe breton Alvan & Ahez à l’Eurovision 2022 avec leur chanson Fulenn, l’ #EmojiBZH a eu la possibilité de refaire surface jusqu’au 19 mai 2022 afin de permettre aux Twittos de brandir leur soutien à la Bretagne.
Acheter un drapeau breton
Envie d’arborer un drapeau de la Bretagne ? La marque AZ Flag propose un Gwenn ha Du breton aux dimensions 150×90 cm pour 7,45 €. Ce grand drapeau breton, conditionné à l’unité et reçu sous blister, est en polyester et possède des coutures doublées et des bords renforcés. De quoi tenir un match de football, un concert ou tout autre événement qui vous fait ressentir le besoin d’exposer la culture bretonne.