Cela fait suite à mon premier article dont la fleur était apparue en 2018. Je la retrouve de nouveau cette année bien conséquente cette fois. Endroit où nous avions du persil. Celle-ci a bien profité du terrain et s’est élargie. Mais le persil 🌿 ? Non, plus du tout c’est cette chélidoine qui a pris la place.
Attention ⚠️ à sa nocivité même si elle présente beaucoup de bienfaits.
C’est une plante médécinale. En effet, la chelidoine est une fleur qui est bonne contre les verrues.
Elles poussent principalement dans les jardins en friches ou en bordure de routes.
Voici un timbre apposé sur un courrier que j’ai reçu et dont il est référencé l’explication sur le droit. Sujet primordial en ce moment.
Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme, ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression.
III
Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation. nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément.
IV
La hberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui. Ainsi, l’exercoe des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits: ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
V
La loi n a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n’est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu’elle n’ordonne pas.
VI.
LA loi est l’expression de la volonté générale; tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation, elle doit être la même pour tous, soit quelle protège, soit qu’elle punisse. Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont e
également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics. selon leur capacité, et sans autres distinctions que celles de leurs. vertus et de leurs. talents
Cela fait 50 ans (1/2 siècle en quelque sorte) que celui-ci fut creusé.
Le 28 Juillet 1975 le lancement des travaux était prononcé en présence du maire de Joué les tours, Raymond Lory, puis Jean-Baptiste Perchaud de Ballan Miré, le Député d’Indre et Loire André Georges Voisin. Le projet était déjà en pourparler en 1960. Mais inauguré finalement en décembre 1977.
Le 1er Février 2025, un article NR nous révélait son identité et les mesures prises durant tout ce délais.
Le fameux lac de Joué les Tours (les Bretonnières).
Vous vous souvenez du paquet de lessive Bonux où il y avait des jouets à découvrir à l’intérieur ?
A l’occasion des 50 ans de la marque, le Cadeau Bonux se réinvente et s’oriente vers le numérique pour le plus grand bonheur des petits et des grands. Un cadeau branché qui colle à notre époque et à l’idée de partage familial. Retour vers les 1000 cadeaux Bonux !
Mais le virtuel ne remplacera pas les objets ou jouets que nous découvrions en plaçant la main dans la lessive avec ses grains de couleurs bleu,blanc,vert, et qui avait un parfum ! Hum hum, j’ai l’odeur qui me remonte au nez rien que d’y penser. Au moins, on avait plaisir de palper, de toucher les objets ou jouets, on avait plaisir à découvrir sur place ce que l’on allait avoir, ceci était bien concret. Maintenant le virtuel, avec la vie qui a changé et évoluée en numérique, ceci ne nous fera pas oublier pour autant, les souvenirs d’antan…
Les jeux de 52 cartes sont basés sur le calendrier grégorien :
il y a 4 couleurs pour les quatre saisons de l’année, 12 figures pour les 12 mois, 52 cartes pour les 52 semaines et la somme de tous les points d’un jeu de 52 cartes plus le joker est de 365 pour les 365 jours de l’année.
Le total de chaque couleur donne 91 points (les valets, dames et rois valant respectivement 11, 12 et 13 points), ce qui donne en multipliant par quatre 364 points, auquel on ajoute un point de joker. Un jeu classique est livré avec 2 jokers, ce qui donne alors un total de 366 pour les années bissextiles.
Pour ceux qui habitent actuellement à Tours ou y ont vécu, cette clinique était très connue dans les années 1973/74 et très réputée.
L’inauguration a eu lieu le 7 Décembre 1973 et dès son ouverture celle-ci y a vu de nombreuses naissances, dont ma fille à l’époque, puis les années qui ont suivies également.
Je me suis renseignée aux archives départementales, pour connaître sa date de création et en quelle année cette clinique a fusionné avec d’autres établissement similaires. Et voici la réponse que je vous retranscrit :
« La Clinique du Parc, qui se trouvait 12 allée des Tilleuls à Chambray-lès-Tours, a fusionné en 2008 avec trois autres cliniques tourangelles pour former le Pôle Santé Vinci 1 avenue Alexandre Minkowski à Chambray-lès-Tours (tél : 02 47 22 21 11).
Nous conservons les dossiers de l’architecte Jacques Boille qui a construit cette clinique en 1972-1973.
La date d’inauguration apparaît sur le carton ci-joint : 7 décembre 1973″.
En parlant de Bruxelles dans une conversation soudain je me suis posé la question : pourquoi les choux de Bruxelles ? ce nom en particulier et l’origine ? Je me suis penché sur cette question qui m’a amené à ceci :
Le chou de Bruxelles serait un dérivé du chou de Milan. Il doit son nom aux habitants d’une ville voisine de Bruxelles, en Belgique. Au XVIIème siècle, afin d’optimiser leur rendement, les maraîchers de Saint-Gilles créèrent une nouvelle variété de chou qui se cultivait à la verticale et prenait ainsi moins d’espace.
La journée mondial du pull de Noël, « Christmas Jumper », se situe chaque année, le troisième vendredi du mois de décembre. Les amateurs de pulls de Noël s’empressent d’enfiler ces pièces colorées, ornées de père Noël, de rennes, de flocons de Neige, d’ours polaire, de sapins.
Cette tradition est née dans les années 50. Tricotés par les mères et les grands-mères, ils n’avaient pas à l’origine vocation à être « moches ». Ils étaient ornés de motifs rappelant la saison hivernale et offerts en cadeau aux enfants et petits-enfants qui les portaient pour les fêtes de famille.
C’est dans les années 1980 que les pulls moches de Noël font leur apparition sous les sapins, ils deviennent le cadeau par excellence, offert par les grands parents. Les pulls de Noël ou « Christmas jumpers » en anglais, aux motifs extravagants – rennes, sapins, flocons ou même Père Noël dans des positions humoristiques, sont rapidement devenus une source de moquerie affectueuses.
L’idée d’une fête bâtie autour de ce traditionnel cadeau est, elle, apparue au début des années 2000, grâce notamment à la sortie d’un film mondialement connu « Le Journal de Bridget Jones ». Dans ce film, on retrouve Colin Firth portant un énorme pull vert en laine avec pour motif central une tête de renne. Très rapidement après la sortie du film de nombreuses « Ugly Christmas sweater party » ont été organisées. Dans un premier temps lors de soirées à thème dans les universités puis lors de repas de Noël. Le phénomène s’est rapidement étendu à travers le monde, jusqu’à devenir une tradition bien ancrée, célébrée aujourd’hui dans plusieurs pays.
Cette année cela tombait le vendredi 20 décembre 2024.
En 1847, ils étaient cinq confiseurs à fabriquer leur chocolat à Blois. Le 25 juin 1850, faisant face à la concurrence, la première publication Poulain paraît dans le Journal de Loir-et-Cher. En 1865, Auguste Poulain crée le slogan «Goûtez et comparez» qui remporte un formidable succès à travers toute la France
De 1862 à 1872, Auguste Poulain fait construire sa première grande usine sur le site de « la Villette »2,4. En 1867, il construit un nouveau bâtiment servant à la fabrication du chocolat ainsi qu’à l’hébergement de sa famille. En 1872, il fait construire, au centre du domaine, le château de « la Villette », qui sert de nouveau foyer pour sa famille5. En 1879, la demande de chocolats étant de plus en plus forte, Auguste Poulain installe un nouveau bâtiment dans l’usine de « la Villette »2.
Ayant repris la direction de l’entreprise, son fils Albert Poulain décide, en 1884, de faire construire une nouvelle usine nommée « Beauséjour », sur le site de « la Villette »6. La nuit du 7 au 8 juillet 1918, un grand incendie ravage intégralement cette usine2,4. Elle est finalement reconstruite en 1918, juste après l’incendie, à la demande d’Albert Poulain4. Continuez la lecture ici :
Les 109 salariés de l’usine Poulain, situé à Villebarou près de Blois dans le Loir-et-Cher, sont soulagés. Le groupe Andros a décidé de reprendre le site dans son intégralité. Un plan de sauvegarde de l’emploi était mis en place, car l’usine devait fermer à la fin de l’année.