Mois : octobre 2022
LES VINS DU POSTILLON
Qui connait ceci ? Ou a connu ?
NOUVELLE FETE A SOUHAITER …
Le saviez-vous ?
Je connaissais la fête des Mères, la fête des Pères, la fête des Grand-mères, mais maintenant j’entends aux infos, la fête des belles-mères. Combien de fêtes à souhaiter vont s’ajouter à la liste ?
Cela prouve bien que ce n’est que commercial c’est tout.
LES SAISONS 2022
Nous sommes déjà le 23 octobre, les saisons s’égrainent petit à petit, nous quittons l’automne presque fini, lorsque l’hiver commence à arriver, même sans le savoir, tellement les beaux jours sont encore là. Les feuilles mortes ne sont pas nombreuses et le tapis jaune doré que l’on a l’habitude de rencontrer boude son plein épanouissement. Les saisons ne sont plus ce qu’elles étaient, tout se trouve décalé. Nous passons d’une saison à l’autre sans même le savoir. Il ne faudra pourtant pas oublier que le dernier dimanche de ce mois-ci, nous changeons d’heure. Il faudra reculer d’une heure nos montres et pendules cela continue toujours… et d’actualité.
Il faut bien admettre que le réchauffement climatique y est pour beaucoup qu’on le veuille ou non c’est l’évidence même.
PROMENADE DANS LES ANNEES 1900
Les promenades de l’époque pouvaient se faire tranquillement, sans crainte du lendemain et de vivre « Heureux ». Maintenant c’est avec la peur au ventre que nous sortons. La violence gratuite est de plus en plus existante et fréquente de nos jours, vu le contexte actuel que nous vivons, que ce soit en France ou dans le monde.
CARTE POSTALE VENDUE 166000€
LE SAVIEZ-VOUS ?
C’est en 2015, après une vente aux enchères en Allemagne, qu’une carte postale ancienne représentant la ville de Pau a été évaluée 166000 €. Une somme rondelette vous allez dire. Et pour cause ! Carte envoyée par Pablo Picasso le 5 septembre 1918 à Guillaume Appollinaire.
CHATEAU DU LOIR
Le saviez-vous ?
Fusion avec Montval sur loir.
Château-du-Loir est une ancienne commune française, située dans le département de la Sarthe en région Pays de la Loire, peuplée de 4 551 habitants les Castéloriens. Elle fait partie de la commune nouvelle Montval-sur-Loir. La commune fait partie de la province historique du Maine, et se situe dans le Haut-Maine.
Aux confins de l’Anjou historique, et du Maine, Château-du-Loir est situé aux limites du Maine angevin, près de la Touraine. La situation géographique privilégiée du canton attira de nombreuses convoitises tout au long de l’histoire. Les rois de France et d’Angleterre se disputèrent cette place forte, chef-lieu d’une sénéchaussée de 78 paroisses (doyennérattaché au diocèse du Mans), jusqu’en 1789.
Cette importance était due surtout à sa situation géographique, qui lui valut d’être victime de la rivalité des couronnes de France et d’Angleterre.
– Le premier seigneur[5] connu est Aimon/Ha(i)mon le Barbu (vers 980-vers 1030), dit aussi de La Roche-Guyon, mari d’Hildeburge de Bellême sœur de l’évêque Avesgaud. Leurs enfants furent : Gervais (Ier) dit de Bellême, de Château-du-Loir ou de La Roche-Guyon (vers 1007-1067), évêque du Mans puis archevêque de Reims et régent de France pour le jeune Philippe Ier ; et Robert Brochard, sire de Château-du-Loir, né vers 1010, père lui-même de Gervais (II), aussi seigneur de Mayet et de La Cour-Aimon (Cohémon à Vouvray-sur-Loir), † vers 1095. Quand Gervais II, seigneur de Château-du-Loir, mourut sans descendance mâle vers 1095 (en fait, il avait eu un fils, Gervais, ecclésiastique, doyen du chapitre du Mans), la châtellenie de Château-du-Loir passa à sa fille Mathilde, † vers 1110, comtesse du Maine par son mariage avec Hélie de La Flèche ci-après. Puis elle fut possédée successivement par Geoffroi V le Beldit Plantagenêt comte d’Anjou et du Maine (il descendait des anciens sires de Château-du-Loir par ses grands-parents maternels : Hélie du Maine et Mathilde de Château-du-Loir qu’on vient de rencontrer ; il mourut en 1151), et par les rois d’Angleterre dont Geoffroi fut la souche, depuis son fils Henri II jusqu’à Jean sans Terre.
– La ville fut reprise par Philippe Auguste vers 1199 et fut donnée à Guillaume des Roches, sénéchal d’Anjou, seigneur de Longué-Jumelles, de Sablé-sur-Sarthe et de La Suze, qui en 1219fonda l’abbaye de Bonlieu. La reine Bérangère, veuve de Richard Cœur de Lion, à qui Philippe Auguste avait cédé le comté du Maine en échange de possessions sises en Normandie et qui constituaient son douaire, céda au sénéchal d’Anjou Guillaume des Roches, tous ses droits comme comtesse douairière du Maine, tant à Château-du-Loir que dans la forêt de Bercé.
– Alors que sa sœur aînée Jeanne des Roches passe Sablé à son mari Amaury Ier de Craon, Clémence des Roches, fille du sénéchal Guillaume, transmet Château-du-Loir, Mayet, Louplande et La Suze à son mari Geoffroy VI de Châteaudun. Leur fille Jeanne de Châteaudun épouse Jean de Montfort-l’Amaury, d’où Béatrice de Montfort x Robert IV de Dreux et de Braine, parents de : . Jean II de Dreux, d’où la suite des comtes de Dreux seigneurs de Château-du-Loir, le troisième fils de Jean II étant le comte Pierre de Dreux ci-dessous ; . et Jeanne de Dreux, comtesse de Braine et dame de La Suze, femme de Jean IV de Roucy, d’où : .. la suite des comtes de Roucy et de Braine ; .. et Béatrice de Roucy dame de La Suze, qui épouse Amaury III de Craon, arrière-petit-fils de Jeanne des Roches dame de Sablé et d’Amaury Ier de Craon ci-dessus.
– Justement, la branche issue de Jeanne des Roches avait gardé un sixième de Château-du-Loir, et l’héritier dans la première moitié du xive siècle en était un fils cadet d’Amaury III, Guillaume Ier le Grand de Craon vicomte de Châteaudun. Il échangea sa part de Château-du-Loir avec son lointain cousin Pierre Ier de Dreux fils du comte Jean II ci-dessus, contre Domart-en-Ponthieu — autre fief des Dreux venu du mariage en 1210 de Robert III de Dreux avec Aénor de St-Valery-sur-Somme — afin que le comte de Dreux puisse réunir complètement la baronnie de Château et la vendre avantageusement.
De succession en succession, Château-du-Loir va plusieurs fois à la Couronne : en mai 1337 à Philippe de Valois, qui l’achète 31 000 livres à Pierre Ier comte de Dreux ci-dessus, et la déclare baronnie « d’aussi bonne condition que le comté du Maine ». Donnée en apanage à Louis Ier, duc d’Anjou et petit-fils de Philippe VI, elle est une seconde fois réunie à la Couronne par Louis XI.
La guerre de Cent Ans n’épargnera pas la ville fortifiée qui fut pillée et détruite par les Anglais. Au xvie siècle, Château-du-Loir reprendra un nouvel essor et deviendra un centre important, pour l’époque, de fabrication de toiles, de filatures et de tanneries.
Lors de la création de la généralité de Tours au xvie siècle, Château-du-Loir, de par sa situation géographique et historique étroitement liée à l’Anjou et au Maine, devient le siège d’un gouvernement particulier avec un gouverneur et un lieutenant du roi, Château-du-Loir était avant 1789 le chef-lieu d’une sénéchaussée qui étendait sa juridiction sur 78 paroisses, d’une élection dont dépendaient 83 paroisses, d’une maîtrise des eaux, grenier à sel, recette des tailles, entrepôt de tabac qui en faisaient une des villes frontalières les plus importantes entre les provinces du Maine et de l’Anjou.
En 1790, lors de la création des départements français, la commune de Château-du-Loir, tout comme d’autres villes du nord de l’Anjou, telles que Le Lude et La Flèche, est rattachée au nouveau département de la Sarthe. Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.
Au moment de la Révolution, Château-du-Loir perdit plus de 50 % de sa population.
Avec la Révolution, Château-du-Loir marqua le pas. Même, un déclin certain s’installa, qui ne s’acheva qu’au xixe siècle avec l’apparition du chemin de fer et la création d’un dépôt ferroviaire, rendant à Château-du-Loir et ses alentours une nouvelle vigueur économique.L’activité nouvelle permettra alors aux petites industries et aux artisans de développer leur commerce.
On ne peut parler de l’histoire de Château-du-Loir sans rappeler qu’à la période brillante de la Renaissance les hommes de lettres de la Pléiades’y rencontraient : Ronsard de Couture, qui fut prieur de Saint-Guingalois (l’église) de 1569 à 1585, Racan de Bueil, les frères Lazarre, Antoine de Baïf de Mangé, Joachim du Bellay et même parfois Jacques Peletier du Mans.
On doit également citer, par souci de mémoire, certaines figures glorieuses ou tristement célèbres originaires de Château-du-Loir ou ayant marqué ce lieu, comme :
Siméon-François Berneux, né le 14 mai 1814 à Château-du-Loir et mort le 7 mars 1866 à Séoulen Corée. Prêtre des Missions étrangères de Paris, ordonné évêque en 1854. Il fait partie des martyrs de Corée, béatifiés le 6 octobre 1968 à Rome par Paul VI. Il est canonisé le 6 mai 1984 par Jean-Paul II.
Pierre Le Monnier, né le 6 septembre 1814 au Lude et décédé le 11 janvier 1895. Cet homme engagé, médecin des pauvres, républicain de cœur, persécuté par le régime de Napoléon III, fut déporté comme ennemi du Second Empire et emprisonné à Mostaganem (ville algérienne faisant alors partie des colonies). De retour à Château-du-Loir en 1870, après la libération des prisonniers politiques du Second Empire par la Troisième République, il devient représentant du canton au Conseil général puis en 1871 vice-président de cette assemblée, et en 1872 il est élu maire de Château-du-Loir. Par deux fois élu député de la Sarthe (circonscription de Saint-Calais ; de 1876 à 1882), il est élu sénateur en janvier 1882[6]. Durant ses différents mandats il a beaucoup œuvré pour dynamiser le canton et la région.
Pierre Loutrel, né le 5 mars 1916 à Château-du-Loir et plus connu sous le nom de « Pierrot le Fou ». Premier ennemi public français et l’un des meneurs du gang des Tractions Avant. Meurtrier opportuniste, il est successivement membre de la Gestapo française durant l’Occupation allemande de 1941 à 1944, exécuteur des basses œuvres pour les Allemands, pendant qu’il règle en même temps ses comptes avec la pègre de l’époque au profit de son propre réseau. Devenu encombrant pour la Gestapo allemande, et sentant le vent tourner, il décide de rejoindre la Résistance française en intégrant le réseau Morhange. Il fait alors parler de lui lors de l’exécution d’un officier allemand à la terrasse d’un café de Toulouse. À la Libération il rejoint le grand banditisme et se forge une réputation de « caïd ». Il forme le « gang des Tractions Avant » à bord desquelles il mène ses braquages. Il meurt en 1946 lors d’un braquage.
LE PONT D’AVIGNON
Un nommé Bénézet serait à l’origine de la construction de l’ouvrage en 1177 sur des restes de culées romaines. A son achèvement en 1185 vingt-deux arches enjambaient le Rhône en formant une courbe de 920 mètres de long pour une largeur de quatre mètres.
S’il fut longtemps le seul pont permettant de traverser le Rhône entre Lyon et la mer Méditerranée, son utilisation était pourtant bien spécifique.
Trop étroit pour permettre aux charrettes de se croiser, il n’a jamais pu être utilisé à de pures fins commerciales. Le transport de marchandises dut être assuré par barque ou par barge.
En revanche, il permettait de contrôler efficacement le trafic et prélever les droits de péage, conformément au rôle de poste-frontière entre l’État pontifical et le Royaume de France qui lui était dévolu.
Endommagé tant par les crues que par les guerres, l’ouvrage fut reconstruit plusieurs fois, notamment entre 1234 et 1237.
En 1479, à cause des inondations, deux arches furent entièrement détruites. Aussi le roi de France Louis XI ordonna-t-il sa réparation par lettre patente royale datée du 10 octobre.
À la suite de la modification du lit du fleuve à l’époque du petit âge glaciaire, une première arche s’effondre en 1603, ensuite trois autres en 1605, enfin toutes quatre sont rebâties vers 1628. En 1633, juste après la réouverture du pont, deux nouvelles arches s’effondrent. En 1669 une nouvelle crue du Rhône emporta plusieurs autres arches pour ne laisser pratiquement que celles qu’on lui connaît de nos jours.
Droits d’auteurs – carte postale personnelle (ne pas copier).
INFOS DU DIMANCHE
Bonjour à tous…
Et voilà, nous arrivons à la mi-octobre, c’est l’automne (que nous ne voyons pas trop encore, par ces belles journées ensoleillées) mais le froid du matin se fait sentir tout de même. Bientôt le changement d’heure encore… pendant combien d’années ? Toujours est il que ce n’est pas près d’évoluer à ce sujet. D’autres sujets plus importants occupent la France en ce moment.
Je voulais vous informer aussi de l’évolution de ce blog, commencé il y a trois ans 1/2 maintenant, celui-ci s’est enrichi de diverses parutions articles, soit sur les actualités, les photos, les voyages, cartes postales anciennes, un endroit pour rire aussi, et un espace tout nouveau maintenant, « l’histoire ». Beaucoup d’articles peuvent plaire aux lecteurs, je pense, et c’est avec plaisir que vous êtes les bienvenus ici. Un petit « com » également, fait toujours plaisir.
Bonne visite à vous et découvrez tout ce contenu. Merci.
LOUIS PROUST MAGISTRAT MAIRE DEPUTE
Louis-Adrien Proust, est le né le 4 Juin 1878 à Oucques-la-Joyeuse (Loir et Cher) et décédé le 31 Décembre 1959 à Nice. C’est un Magistrat, homme politique et naturiste français.
Droits d’auteurs – carte postale personnelle (ne pas copier).
1878 – 1959
Élève de l’École des sciences politiques, il est docteur en droit et diplômé de médecine. Il devient magistrat et maire de Neuillé Pont Pierre. Conseiller général, il est élu député d’Indre et Loire en 1919. Il fut constamment réélu jusqu’en 1936.
Il fut Président de la fédération nationale des Mutualités de France et d’outre-mer et du Comité républicain du commerce, de l’industrie et de l’agriculture.
FICHE DE LOUIS PROUST ASSEMBLEE NATIONALE :
https://www2.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche/%28num_dept%29/6518