Un petit oiseau s’étend blotti chez nous.
Musique Jean Ferrat
Une mamie heureuse
Un petit oiseau s’étend blotti chez nous.
Musique Jean Ferrat
La fête aux fromages arrive à grands pas et se déroulera sur deux jours le Samedi 20 Mai et Dimanche 21 Mai 2023 à Neuillé Pont Pierre. Nous vous y attendons nombreux. Et que le beau temp soit là avec le soleil.
L’exposition artisanale se tiendra dans la mairie de Neuillé.
La SPA est la première association de protection animale en France. Ému par le sort réservé aux chevaux des cochers parisiens, le médecin Etienne Pariset, aidé d’autres intellectuels, a créé la SPA le 2 décembre 1845. Depuis, les actions n’ont cessé d’évoluer pour toujours mieux agir pour la cause.
Aucun animal ne devrait se rendre dans ce refuge, car bien souvent ce sont des chiens ou chats, ou autres qui ont été abandonnés par leur maitre, soient qu’ils ont subit des sévices et ont été accueillis de ce fait par cette société protectrice des animaux, pour leur éviter cette souffrance.
En adoptant un chat ou chien, il faut bien se dire que c’est pour sa vie entière. Si l’on ne s’en sent pas capable, ne pas le faire. Un animal doit pouvoir s’épanouir dans le cocon familial, c’est comme un être humain et doit être traité comme tel.
Un livre est sorti concernant un animal adopté par une famille et qui a vu sa vie changer du tout au tout, car heureux et épanouï.
Je m’appelle Eliot que vous trouverez ici : lhttps://www.thebookedition.com/fr/je-m-appelle-eliot-p-346776.html
Installé en 1900 sur le boulevard Heurteloup, le magasin d’ameublement Lefroid s’agrandit et diversifie son offre. La percée donnant sur la rue de Bordeaux permet d’attirer une clientèle nouvelle : « Le grand passage ». Qui n’a pas connu celui-ci avec ses commerces et spécialement celui où il y avait crêpes et gaufres que l’on mangeait avec chantilly et sa cerise confite au centre ? Sa façade s’affirme comme emblématique de l’Art Déco. Racheté par le Printemps en 1965, l’enseigne est modifiée en 1984. La verrière centrale surmontée d’un pignon confère à l’édifice une forte monumentalité.
Vues d’un hélicoptère du cirque Amar en vol au-dessus de Tours.
Construction de la galerie du Grand Passage à Tours : des personnes regardant à travers des palissades de travaux en bois (scène jouée), vues de la destruction des anciens bâtiments entre le boulevard Heurteloup et la rue de Bordeaux (des hommes avec des pelles et des pioches et un bulldozer). Vues d’officiels lors d’un pot en extérieur autour de la maquette de la future galerie (sont notamment présents : M Riehl, un des commerçants à l’origine du projet, M. Chapel, préfet, et M. Guillaume-Louis, président du Conseil général). Vues de la construction de la galerie (pose de poutres métalliques, déplacement de parpaings, pose d’enduit puis de carrelages en intérieur).
https://memoire.ciclic.fr/2829-construction-du-grand-passage-a-tours
Son histoire :
ANGLETERRE Jeanne d’Arc est aujourd’hui mondialement connue. Elle est devenue un symbole de courage et de liberté, de sacrifice de soi et de résistance à l’envahisseur. Sa notoriété est liée au rôle qu’elle a joué au XVe siècle en France et, en particulier, à Orléans.
Elle parvient à rencontrer Charles VII , à conduire victorieusement les troupes françaises contre les armées anglaises, à lever le siège d’Orléans et à conduire le roi au sacre, à Reims, contribuant ainsi à inverser le cours de la guerre de Cent Ans.
En seulement une semaine, elle parvient à faire lever le siège des Anglais le 8 mai 1429. Libératrice de la ville, elle gagne alors le surnom de « pucelle d’Orléans.
Le 8 mai 1429, les Anglais lèvent le siège d’Orléans après que Jeanne d’Arc est montée à l’assaut de leurs défenses. C’est le premier succès de celle qui sera plus tard surnommée la Pucelle d’Orléans (pucelle au sens ancien de jeune fille).
Pour plus de précision et détail voir lien ci-contre : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jeanne_d%27Arc?fbclid=IwAR1H7W6vchAvNGKLRTzDobN5Z2U0ONMt9ea1vimjfoPDLfSJnYnjRuAONXQ
Carte postale photo reçue lors d’un achat de livre « un siècle de cartes postales » CIM – Combier Imprimerie Mâcon.
Photo prise par Nathalie DELATTRE-ARNOULD 2001. (strictement personnelle) à ne pas reproduire, merci. Je vous la partage uniquement pour information. N.B.
Étienne Jean Marie Blandin né à Saint-Broladre (Ille-et-Vilaine) le 9 janvier 1903 et mort à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine)1 le 10 novembre 1991 est un peintre français.
En juin 1990, Étienne Blandin participe à l’exposition Peintres de Marines et autres poètes de la mer, à l’École nationale de la marine marchande de Saint-Malo qui sera sa dernière exposition auprès du public. Le public de sa région le connaît surtout au travers de ses portraits de corsaires aux mines patibulaires et caricaturales, reproduites sur de très nombreuses cartes postales vendues à Saint-Malo.
Il meurt le 10 novembre 1991. Ses obsèques ont eu lieu en l’église Sainte-Croix de Saint-Malo (Saint-Servan) et son inhumation au cimetière marin du Rosais, en bordure de l’estuaire de la Rance8.
Ses fils et petit-fils Patrick et Jérôme Loyer lui consacrent un ouvrage pour l’exposition rétrospective de Saint-Malo en 2019, Étienne Blandin, peintre de la Marine, préfacé par le Contre-amiral Alain Regard, ancien Président de l’Association des Amis du Musée national de la Marine, et d’une postface de Michel Laclotte, ancien directeur du musée du Louvre et qui fut élève du peintre au collège de Saint-Servan. Ouvrage honoré par le Prix Beau Livre 2021 de l’Académie de Marine. Au cours de cette exposition furent présentées plus de 150 œuvres depuis ses dessins de jeunesse jusqu’à ses derniers tableaux.
Voici les personnages en cartes postales dont la carte postale ci-dessus : Alain Lemeilleur « dit bonne viande » gabier sur la fortune.
Ses cartes postales de caricatures de corsaires sont connues de Dunkerque13 à Biarritz14.
Pruniers d’Antan,
Voici au bout des ans,
La détresse,
La vieillesse,
Mais aussi le chagrin,
De perdre de bons copains.
Pendant toutes ces années,
Nous avons pu les goûter et manger,
En se rassasiant parfois,
Mais les trouvant excellentes à chaque fois.
Les tartes ont fait le bonheur des uns,
En gibrous, compotes aussi,
En confiture toujours comblés,
Mais directement de l’arbre, appréciées.
Après les tempêtes répétées,
Une autre est revenue se répéter,
Sur tes branches bien fragiles,
Et pourtant combien utiles.
En tout cas,
Ceux qui t’auront mis là,
N’auront pu les voir grandir,
Ni les voir aussi gémir.
Après toutes ces années de tendres et loyaux services,
Avec le temps vous avez subit des sévices,
Et dont fin de vie rime avec sévices,
Avec regret pour nous ici.
N.B.