LES GRANDES VACANCES

Les grandes vacances sont finies pour tous, et les écoliers et étudiants ont repris le chemin des cours. Et cela m’a fait resurgir les souvenirs d’enfance !

Il suffit parfois d’un parfum, d’un son ou d’une image pour que ressurgissent les souvenirs d’enfance. Ceux des vacances chez ma grand-mère font partie des plus précieux. De petites scènes simples, mais remplies de tendresse et d’émotion, qui ont marqué à jamais mes étés.

Dès mon arrivée, tout prenait une autre saveur : la maison embaumait la confiture de prunes qui mijotait doucement, et le plancher grinçait sous mes pas comme pour me souhaiter la bienvenue.


Le jardin, avec ses allées un peu sauvages et ses rosiers aux couleurs éclatantes,
devenait notre royaume. Avec presque rien, nous inventions des jeux qui occupaient nos journées entières. Deux planches de bois clouées ensemble se transformaient en échasses fragiles sur lesquelles nous avancions, le cœur battant, fiers de chaque pas gagné. Plus loin, un cerceau récupéré d’une vieille charrette roulait sur la cour pavée, poursuivi par nos cris de joie.
Il n’y avait pas de jouets sophistiqués, ni d’écrans pour occuper notre temps. Juste la nature, nos mains créatives et notre imagination débordante. Et cela suffisait à remplir nos journées d’aventures et de rires.

Le soir venu, l’air se rafraîchissait et l’odeur du potage s’échappait de la cuisine. Ma grand-mère préparait le dîner dans un calme rassurant : quelques légumes du jardin mijotaient dans la grande marmite, pendant que le pain de la veille se faisait griller sur le coin de la cuisinière. Nous revenions alors, fatigués mais heureux, les genoux écorchés et les joues encore chaudes du soleil.
Et puis, avant même que la nuit tombe, ma grand-mère fermait les volets. Elle tenait à ce rituel, sans doute par habitude, mais moi, cela me serrait le cœur. Dehors, le jour brillait encore, les oiseaux chantaient toujours, et j’avais l’impression qu’on m’arrachait un petit morceau de liberté. Ce pincement au cœur, je le ressens encore aujourd’hui en y repensant.
C’était pourtant un temps d’insouciance, un temps où la vie semblait simple et douce.

Ces instants, gravés dans ma mémoire, portent encore le parfum du bonheur.
■ Et vous, quels souvenirs d’enfance gardez-vous de vos étés chez vos grands-parents ?

LE 1er SEPTEMBRE RENTREE DES CLASSES

En effet, les vavances sont finies et la rentrée scolaire reprend aujourd’hui.

Je souhaite donc à tous les écoliers, les étudiants, une bonne rentrée.Quelle soit une année de réussite.

Ma petite fille entame sa dernière année de Bac Pro Vente, en alternance et je lui souhaite également une bonne réussite.

Bone semaine à tous.

MARC ARNAUD – AUTEUR/REALISATEUR

Voici son site et le fameux livre qu’il vient d’écrire. Pour se le procurer : en pré-commande uniquement, et ceci jusqu’au 20 Aout, livraison mi-septembre. Il fait un carton ce livre ! Vous pouvez encore vous le procurer si vous le désirez Vu certains extraits qui sont très intéressant à connaitre.

PS : Ne pas confondre les initiales FB (Facebook) et (FB Studio). Ce dont je pensais au premier abord ! C’est bien le dernier cigle qui compte.

https://www.france-biographie.com/produit/prenez-la-premiere-a-gauche?fbclid=IwY2xjawLoE_xleHRuA2FlbQIxMABicmlkETBDNTN6ZVpTcTdBamhxNG92AR5eGqSDAELWJ7D6en09MOKyuIsTbwSXu70V_pAjulyoXoQIbGsL42Kf6OVcHw_aem_kKLpPRLVdOGtNH2bsYiUvw

Ce Monsieur a du talent et décrit d’une façon très bien « une biographie . Celle ci nous transporte très bien à la personne concernée.

Voici un exemple :

Marc Arnaud

[Préambule nécessaire pour éviter les procès]

J’ai un énorme respect pour les juifs, conscient que, dans l’histoire, ils ont traversé plus d’une tragédie et subi le pire par l’ordre nazi. Toutefois, on peut critiquer un juif d’origine berbère sans s’en prendre au juif, mais juste à l’homme.

Enrico Macias ou le troubadour du double standard !

Enrico Macias… Ce chantre de la paix qui choisit ses victimes comme on trie ses lentilles : les bonnes d’un côté, les pourries à la poubelle – surtout si elles parlent arabe, vivent à Gaza, et n’ont pas eu la décence de naître du bon côté du mur.

Lui, autrefois ambassadeur de l’enfance multiculturelle, nous chantait d’un air sirupeux :

« Enfants de tous pays, tendez vos mains meurtries… »

Mais aujourd’hui, les enfants de Gaza peuvent bien tendre ce qu’ils veulent, surtout s’ils n’ont plus que des moignons. Mathias ne tend plus que des micros à la droite dure et des sourires complices à ses copains de plateau : Zemmour, Meyer Habib et l’ami Netanyahou, ce petit bonhomme dont le programme tient en deux mots : béton et bombes.

C’est qu’Enrico, lui, a fait un choix.

Celui de la mémoire sélective :

– Shoah, oui.Nakba, non.

– Les larmes d’hier, sacrées, celles d’aujourd’hui, suspectes.

Le pacifisme ? Oui, mais entre Tel-Aviv et la rue de la Pompe.

Ailleurs, c’est du folklore.

Il a vieilli, Enrico. Comme tous les troubadours de salon, il a confondu sagesse avec rigidité, et rides avec raison. Le cerveau, lui, a suivi le chemin du vibrato : il tremblote. Il confond critique d’un État avec haine d’un peuple, et croit qu’Hébron est un quartier bobo de Marseille.

Mais le pire chez Macias, ce n’est pas qu’il ferme les yeux. C’est qu’il les entrouvre juste assez pour pointer du doigt ceux qui crient :

– « Halte au massacre ! » et leur crache à la figure :

– « Antisémiiiites ! »

Humanistes ? Pacifistes ? Non, voyons, pour le pauv’ guitariste, ce sont des collabos. Des traîtres. Des idiots utiles du Hamas.

Même s’ils pleurent des enfants déchiquetés. Même s’ils n’ont que la paix à la bouche.

C’est ça, la nouvelle chanson d’Enrico :

– « Enfants de tous pays… sauf ceux de Gaza… sauf s’ils sont sous les bombes, sauf s’ils gênent Israël, sauf s’ils sont palestiniens. Là, on change de disque. On passe à la marche militaire. »

Et dans le chœur des indignations à géométrie variable, il y a tous les autres : les éditorialistes en costard-cravate qui comptent les roquettes comme des points au Scrabble,

les députés silencieux comme des tombes sauf quand il s’agit d’indigner leurs électeurs sur commande, et les « intellectuels » en carton-pâte qui voient des antisémites partout… sauf au dîner du CRIF.

Alors non, Enrico, la vieillesse ne t’a pas rendu plus sage.

Elle t’a juste fait oublier ce que disait ta propre chanson.

Et ce que disait la tienne, d’enfance. Tu es à la « chanson française » ce que le morpion est au testicule, un vieux parasite !

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PS : Si ce portrait vous a plu, je vous invite à pré-commander mon livre « Prenez la première à gauche » avec 46 autres portraits. :Attention, tirage limité, clôture des pré-commandes le 20 août prochain.

CANICULE 2025

🌡️ Un été qui joue avec nos nerfs

« Quand l’été brûle, que l’automne pleure, que l’hiver hésite et que le printemps s’oublie… c’est que le temps a perdu la mémoire. »
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La canicule a baissé d’un ton… juste le temps de nous laisser souffler. Mais attention : elle revient en force dès ce week-end du 15 août, comme pour nous rappeler qu’elle n’a pas dit son dernier mot.

Oui, la Terre se réchauffe, et ce n’est plus un secret pour personne. Certes, d’autres époques ont connu des étés torrides, mais depuis quelques années, on sent bien que quelque chose a changé. Les saisons semblent avoir perdu leur boussole : pluie diluvienne quand on ne s’y attend pas, sécheresse persistante quand on en aurait le moins besoin, et incendies qui se multiplient aux quatre coins du pays.

Un cocktail explosif qui nous pousse à réfléchir sérieusement à l’avenir… et à l’importance de prendre soin de notre planète, avant que le dérèglement ne devienne la norme.

quelques citations qui nous illustrent bien ce changement de saisons.

1. « Quand les saisons se mélangent, c’est la Terre qui écrit un poème désordonné. »

2. « Les arbres connaissent mieux le climat que nos thermomètres. »

3. « Chaque saison est une lettre du grand livre du climat… et certaines pages s’effacent. »

4. « Le dérèglement climatique n’est plus un futur : c’est notre présent. »

5. « Quand la nature perd ses repères, c’est que nous avons perdu les nôtres. »

6. « Les saisons changent plus vite que nos habitudes… et c’est bien là le problème. »

7. « Les saisons ne sont plus celles de nos souvenirs… mais celles que nous leur avons laissées. »

8. « Le climat ne parle pas avec des mots, mais avec du vent, de la pluie et du feu. »

9. « Observer le ciel, c’est lire l’humeur de la planète. »

#Climat #Saisons #Planète


CRÉMEUX CHOCOLAT A LA FÈVE DE TONKA

Le saviez-vous ?

Préparation plus fine et plus gastronomique qu’une simple pâte à tartiner type Nutella. Voici quelques explications sur comment le consommer et en quoi il se distingue :

🥄 Comment le manger ?
• À la cuillère : Oui, il peut se déguster à la cuillère comme un dessert à part entière, surtout s’il est présenté dans une verrine ou une petite coupe. Sa texture est généralement plus onctueuse et plus dense qu’une mousse au chocolat.
• Avec un accompagnement : Il se marie très bien avec :
• des fruits frais (poires, framboises, bananes),
• des crêpes ou pancakes,
• des biscuits croquants (sablés, langues de chat),
• en insert dans un chou, une tartelette, un entremets ou un mille-feuille.

🍫 En quoi est-ce différent du Nutella ?

Critère
Crémeux chocolat à la fève de Tonka
Nutella
Texture
Onctueuse, plus dense, type ganache
Lisse et tartinable
Goût
Chocolat noir ou au lait + arôme subtil de fève de Tonka (vanille, amande, foin coupé)
Très sucré, goût prononcé de noisette
Utilisation
Dessert raffiné, cuisine de chef, pâtisserie
Tartines, crêpes, usage quotidien
Sucre
Moins sucré en général

BOUTEILLE CRISTALLINE

Comment trouvez-vous ces bouteilles ? Leurs côtés pratiques ou au contraire l’inverse ?

Eau cristalline… pas si pratique qu’elle en a l’air !

À première vue, ces bouteilles d’eau cristalline semblent parfaites : légères, modernes, et faciles à transporter. Pourtant, à l’usage, leur conception laisse à désirer.

D’abord, leur souplesse excessive ne facilite pas le quotidien. Certes, elles sont conçues pour se plier facilement une fois vides – un bon point pour le recyclage – mais leur mollesse complique l’usage. Elles sont souvent remplies à ras bord, et lorsqu’on tente de se servir un verre, mieux vaut viser juste… sinon, c’est à côté que l’eau s’échappe !

Mais le véritable problème, selon moi, vient du bouchon. Autrefois vissé et indépendant, il est désormais attaché à la bouteille, se refermant par un petit clapet. Une idée censée être pratique, mais qui s’avère bien peu commode dans certaines situations.

Il m’est arrivé deux fois la même mésaventure : la bouteille m’échappe des mains, je la rattrape in extremis par le goulot… mais le fameux clapet, sous la pression, s’ouvre brutalement. Résultat : la bouteille tombe, et l’eau se répand au sol.

Une ergonomie à revoir, donc, pour que l’eau reste dans la bouteille – et pas sur le carrelage !





UN OEUF PAS COMME LES AUTRES

Effectivement, c’est un œuf impressionnant ! À vue d’œil et en tenant compte de la mesure (7 cm de longueur), il est nettement plus grand que la moyenne des œufs standards :
    •    Œuf de poule standard (calibre M) : environ 5,3 à 6 cm de long et pèse 53 à 63 g.
    •   Cet œuf (7 cm) : il pourrait facilement atteindre ou dépasser les 80 g, ce qui correspondrait à un calibre XL voire hors normes.

Ce phénomène peut s’expliquer par :
    •    Une jeune poule en début de ponte : parfois, elles produisent des œufs surdimensionnés.
    •    Une double ovulation : cela peut donner un œuf énorme, parfois avec deux jaunes (testez à la casse !).
    •    Une poule âgée : certaines races pondent des œufs plus gros avec l’âge.

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Ce matin-là, en allant ramasser les oeufs au poulailler, je ne m’attendais pas à une telle surprise.

Blotti au creux de la paille, un oeuf hors normes, démesuré, bien plus gros que tous les autres. Il tenait à peine dans ma main. Intriguée, je l’ai mesuré : 7 centimètres de long, alors que la taille moyenne d’un oeuf standard est de 5 à 5,5 cm. Un vrai géant !

Quand on élève des poules heureuses, nourries de restes de cuisine, de grains bio et d’herbes fraîches, on s’attend à des oeufs savoureux, riches en goût. Mais un oeuf aussi gros, c’est une rareté. En cuisine, on parlerait d’un oeuf  » calibre hors normes « , probablement plus de 80 grammes, quand les oeufs standards de calibre M pèsent entre 53 et 63 g. Certains parleraient même d’un oeuf de catégorie XXL, mais ici, on préfère dire qu’il a du caractère.

Ce genre d’oeuf extraordinaire peut être le fruit d’une double ovulation, un phénomène naturel chez certaines poules, surtout en début ou en fin de cycle de ponte. Et cela s’est confirmé : en cassant l’oeuf, deux jaunes sont apparus, bien formés, presque jumeaux, comme si deux oeufs s’étaient réunis en un seul. Une belle surprise, doublée d’une certaine émotion :

c’est comme si la poule avait décidé de faire doublement plaisir ce jour-là.

C’est aussi cela, la magie de la vie à la campagne : ces petits miracles du quotidien, ces instants d’émerveillement devant les choses simples, mais authentiques. Un oeuf plus gros que la moyenne, ce n’est pas qu’une curiosité, c’est le reflet d’un soin quotidien, d’un respect de la terre, du vivant et des cycles naturels.

Je ne sais pas encore si je vais l’utiliser pour une omelette, un gâteau ou simplement le savourer tel quel. Mais une chose est sûre : il méritait bien une petite mise en lumière, comme un hommage à nos poules qui, chaque jour, sans tambour ni trompette, nous offrent un trésor fragile mais essentiel.

(Je vous direz prochainement , ce qu’il est devenu : omelette ? gâteau ? ).

Voici les renseignements complementaires tirés de mon premier article du 15 mars 2025.

Eh non, vous ne rêvez pas. Un oeuf aussi gros que cela a été pondu ce matin 15 mars. Il fait 7 cm voir plus, alors que les autres en général n’étaient que de 5 cm. Son poids : 106g. C’est bien la première fois que cela nous arrive !

Classé dans les XL (supérieur à 73g).

Et voici l’oeuf positionné à côté d’oeufs de taille normale :

Vous voyez, il est « énorme ».

« Ainsi s’achève l’histoire étonnante de cette poule pas comme les autres, qui a tant fait parler d’elle ! »

    •   Qui aurait cru qu’une simple poule deviendrait la vedette d’un récit aussi insolite ? Et pourtant…
    •    Comme quoi, même une poule peut marquer les esprits quand elle sort des sentiers battus !

UNE POULE COUVEUSE SANS COQ

C’est la première fois de ma vie et surtout depuis plusieurs années où je possède des poules pondeuses, que j’en découvre une qui couve comme s’il y avait un coq. Pour moi cela était très étrange! En me renseignant, grâce à l’IA, j’ai pu avoir les détails et explications que je désirais.

Et vous, étiez-vous au courant ?

D’où ma question.

Combien de temps une poule peut elle avoir l’envie de couver même si pas de coq ? 
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Durée de la couvaison sans coq :

  • Une poule peut rester couveuse pendant 3 semaines, parfois plus, même si les œufs ne sont pas fécondés.
  • Cette durée correspond à la durée naturelle d’incubation des œufs (21 jours).
  • Certaines poules persistent plus longtemps si on ne les empêche pas (jusqu’à 4 ou 5 semaines), mais cela fatigue leur organisme.

Signes d’une poule couveuse :

  • Elle reste sur le nid en permanence.
  • Elle glousse quand on l’approche.
  • Elle pique ou se hérisse si on veut prendre les œufs.
  • Elle mange et boit moins, perd du poids.

Que faire si elle couve “à vide” ?

  • Soit lui donner des œufs fécondés si on veut qu’elle les élève.
  • Soit tenter de “casser” la couvaison pour sa santé :
    • En l’isolant dans un endroit frais, lumineux, sans nid.
    • En lui retirant les œufs tous les jours.
    • Parfois, un bain d’eau tiède courte (pas glacée) peut aider à baisser la température corporelle, mais c’est à faire avec précaution.

En résumé :

Une poule peut rester couveuse 3 semaines ou plus, même sans coq, simplement par instinct. Il est recommandé de surveiller son état de santé si elle persiste trop longtemps.