CHATEAU DU LOIR

Le saviez-vous ?

Fusion avec Montval sur loir.

Château-du-Loir est une ancienne commune française, située dans le département de la Sarthe en région Pays de la Loire, peuplée de 4 551 habitants les Castéloriens. Elle fait partie de la commune nouvelle Montval-sur-Loir. La commune fait partie de la province historique du Maine, et se situe dans le Haut-Maine.

https://www.sweetfm.fr/commune-nouvelle-de-montval-sur-loir-objectif-plutot-rate-selon-la-chambre-regionale-des-comptes

Aux confins de l’Anjou historique, et du Maine, Château-du-Loir est situé aux limites du Maine angevin, près de la Touraine. La situation géographique privilégiée du canton attira de nombreuses convoitises tout au long de l’histoire. Les rois de France et d’Angleterre se disputèrent cette place forte, chef-lieu d’une sénéchaussée de 78 paroisses (doyennérattaché au diocèse du Mans), jusqu’en 1789.

Cette importance était due surtout à sa situation géographique, qui lui valut d’être victime de la rivalité des couronnes de France et d’Angleterre.

– Le premier seigneur[5] connu est Aimon/Ha(i)mon le Barbu (vers 980-vers 1030), dit aussi de La Roche-Guyon, mari d’Hildeburge de Bellême sœur de l’évêque Avesgaud. Leurs enfants furent : Gervais (Ierdit de Bellême, de Château-du-Loir ou de La Roche-Guyon (vers 1007-1067), évêque du Mans puis archevêque de Reims et régent de France pour le jeune Philippe Ier ; et Robert Brochard, sire de Château-du-Loir, né vers 1010, père lui-même de Gervais (II), aussi seigneur de Mayet et de La Cour-Aimon (Cohémon à Vouvray-sur-Loir), † vers 1095. Quand Gervais II, seigneur de Château-du-Loir, mourut sans descendance mâle vers 1095 (en fait, il avait eu un fils, Gervais, ecclésiastique, doyen du chapitre du Mans), la châtellenie de Château-du-Loir passa à sa fille Mathilde, † vers 1110, comtesse du Maine par son mariage avec Hélie de La Flèche ci-après. Puis elle fut possédée successivement par Geoffroi V le Beldit Plantagenêt comte d’Anjou et du Maine (il descendait des anciens sires de Château-du-Loir par ses grands-parents maternels : Hélie du Maine et Mathilde de Château-du-Loir qu’on vient de rencontrer ; il mourut en 1151), et par les rois d’Angleterre dont Geoffroi fut la souche, depuis son fils Henri II jusqu’à Jean sans Terre.

– La ville fut reprise par Philippe Auguste vers 1199 et fut donnée à Guillaume des Roches, sénéchal d’Anjou, seigneur de Longué-Jumelles, de Sablé-sur-Sarthe et de La Suze, qui en 1219fonda l’abbaye de Bonlieu. La reine Bérangère, veuve de Richard Cœur de Lion, à qui Philippe Auguste avait cédé le comté du Maine en échange de possessions sises en Normandie et qui constituaient son douaire, céda au sénéchal d’Anjou Guillaume des Roches, tous ses droits comme comtesse douairière du Maine, tant à Château-du-Loir que dans la forêt de Bercé

– Alors que sa sœur aînée Jeanne des Roches passe Sablé à son mari Amaury Ier de Craon, Clémence des Roches, fille du sénéchal Guillaume, transmet Château-du-Loir, Mayet, Louplande et La Suze à son mari Geoffroy VI de Châteaudun. Leur fille Jeanne de Châteaudun épouse Jean de Montfort-l’Amaury, d’où Béatrice de Montfort x Robert IV de Dreux et de Braine, parents de : . Jean II de Dreux, d’où la suite des comtes de Dreux seigneurs de Château-du-Loir, le troisième fils de Jean II étant le comte Pierre de Dreux ci-dessous ; . et Jeanne de Dreux, comtesse de Braine et dame de La Suze, femme de Jean IV de Roucy, d’où : .. la suite des comtes de Roucy et de Braine ; .. et Béatrice de Roucy dame de La Suze, qui épouse Amaury III de Craon, arrière-petit-fils de Jeanne des Roches dame de Sablé et d’Amaury Ier de Craon ci-dessus. 

– Justement, la branche issue de Jeanne des Roches avait gardé un sixième de Château-du-Loir, et l’héritier dans la première moitié du xive siècle en était un fils cadet d’Amaury III, Guillaume Ier le Grand de Craon vicomte de Châteaudun. Il échangea sa part de Château-du-Loir avec son lointain cousin Pierre Ier de Dreux fils du comte Jean II ci-dessus, contre Domart-en-Ponthieu — autre fief des Dreux venu du mariage en 1210 de Robert III de Dreux avec Aénor de St-Valery-sur-Somme — afin que le comte de Dreux puisse réunir complètement la baronnie de Château et la vendre avantageusement.

De succession en succession, Château-du-Loir va plusieurs fois à la Couronne : en mai 1337 à Philippe de Valois, qui l’achète 31 000 livres à Pierre Ier comte de Dreux ci-dessus, et la déclare baronnie « d’aussi bonne condition que le comté du Maine ». Donnée en apanage à Louis Ierduc d’Anjou et petit-fils de Philippe VI, elle est une seconde fois réunie à la Couronne par Louis XI.

La guerre de Cent Ans n’épargnera pas la ville fortifiée qui fut pillée et détruite par les Anglais. Au xvie siècle, Château-du-Loir reprendra un nouvel essor et deviendra un centre important, pour l’époque, de fabrication de toiles, de filatures et de tanneries.

Lors de la création de la généralité de Tours au xvie siècle, Château-du-Loir, de par sa situation géographique et historique étroitement liée à l’Anjou et au Maine, devient le siège d’un gouvernement particulier avec un gouverneur et un lieutenant du roi, Château-du-Loir était avant 1789 le chef-lieu d’une sénéchaussée qui étendait sa juridiction sur 78 paroisses, d’une élection dont dépendaient 83 paroisses, d’une maîtrise des eauxgrenier à sel, recette des tailles, entrepôt de tabac qui en faisaient une des villes frontalières les plus importantes entre les provinces du Maine et de l’Anjou. 

En 1790, lors de la création des départements français, la commune de Château-du-Loir, tout comme d’autres villes du nord de l’Anjou, telles que Le Lude et La Flèche, est rattachée au nouveau département de la Sarthe. Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.

Au moment de la Révolution, Château-du-Loir perdit plus de 50 % de sa population.

Avec la Révolution, Château-du-Loir marqua le pas. Même, un déclin certain s’installa, qui ne s’acheva qu’au xixe siècle avec l’apparition du chemin de fer et la création d’un dépôt ferroviaire, rendant à Château-du-Loir et ses alentours une nouvelle vigueur économique.L’activité nouvelle permettra alors aux petites industries et aux artisans de développer leur commerce.

On ne peut parler de l’histoire de Château-du-Loir sans rappeler qu’à la période brillante de la Renaissance les hommes de lettres de la Pléiades’y rencontraient : Ronsard de Couture, qui fut prieur de Saint-Guingalois (l’église) de 1569 à 1585, Racan de Bueil, les frères Lazarre, Antoine de Baïf de MangéJoachim du Bellay et même parfois Jacques Peletier du Mans.

On doit également citer, par souci de mémoire, certaines figures glorieuses ou tristement célèbres originaires de Château-du-Loir ou ayant marqué ce lieu, comme :

Siméon-François Berneux, né le 14 mai 1814 à Château-du-Loir et mort le 7 mars 1866 à Séoulen Corée. Prêtre des Missions étrangères de Paris, ordonné évêque en 1854. Il fait partie des martyrs de Corée, béatifiés le 6 octobre 1968 à Rome par Paul VI. Il est canonisé le 6 mai 1984 par Jean-Paul II.

Pierre Le Monnier, né le 6 septembre 1814 au Lude et décédé le 11 janvier 1895. Cet homme engagé, médecin des pauvres, républicain de cœur, persécuté par le régime de Napoléon III, fut déporté comme ennemi du Second Empire et emprisonné à Mostaganem (ville algérienne faisant alors partie des colonies). De retour à Château-du-Loir en 1870, après la libération des prisonniers politiques du Second Empire par la Troisième République, il devient représentant du canton au Conseil général puis en 1871 vice-président de cette assemblée, et en 1872 il est élu maire de Château-du-Loir. Par deux fois élu député de la Sarthe (circonscription de Saint-Calais ; de 1876 à 1882), il est élu sénateur en janvier 1882[6]. Durant ses différents mandats il a beaucoup œuvré pour dynamiser le canton et la région.

Pierre Loutrel, né le 5 mars 1916 à Château-du-Loir et plus connu sous le nom de « Pierrot le Fou ». Premier ennemi public français et l’un des meneurs du gang des Tractions Avant. Meurtrier opportuniste, il est successivement membre de la Gestapo française durant l’Occupation allemande de 1941 à 1944, exécuteur des basses œuvres pour les Allemands, pendant qu’il règle en même temps ses comptes avec la pègre de l’époque au profit de son propre réseau. Devenu encombrant pour la Gestapo allemande, et sentant le vent tourner, il décide de rejoindre la Résistance française en intégrant le réseau Morhange. Il fait alors parler de lui lors de l’exécution d’un officier allemand à la terrasse d’un café de Toulouse. À la Libération il rejoint le grand banditisme et se forge une réputation de « caïd ». Il forme le « gang des Tractions Avant » à bord desquelles il mène ses braquages. Il meurt en 1946 lors d’un braquage.

LE PONT D’AVIGNON

Un nommé Bénézet serait à l’origine de la construction de l’ouvrage en 1177 sur des restes de culées romaines.  A son achèvement en  1185 vingt-deux arches enjambaient le Rhône en formant une courbe de 920 mètres de long pour une largeur de quatre mètres.

S’il fut longtemps le seul pont permettant de traverser le Rhône entre Lyon et la mer Méditerranée, son utilisation était pourtant bien spécifique.

Trop étroit pour permettre aux charrettes de se croiser, il n’a jamais pu être utilisé à de pures fins commerciales. Le transport de marchandises dut être assuré par barque ou par barge.

En revanche, il permettait de contrôler efficacement le trafic et prélever les droits de péage, conformément au rôle de poste-frontière entre l’État pontifical et le Royaume de France qui lui était dévolu.

Endommagé tant par les crues que par les guerres, l’ouvrage fut reconstruit plusieurs fois, notamment entre 1234 et 1237.

En 1479, à cause des inondations, deux arches furent entièrement détruites. Aussi le roi de France Louis XI ordonna-t-il sa réparation par lettre patente royale datée du 10 octobre.

À la suite de la modification du lit du fleuve à l’époque du petit âge glaciaire,  une première arche s’effondre en 1603, ensuite trois autres en 1605, enfin toutes quatre sont rebâties vers 1628. En 1633, juste après la réouverture du pont, deux nouvelles arches s’effondrent. En 1669 une nouvelle crue du Rhône emporta plusieurs autres arches pour ne laisser pratiquement que celles qu’on lui connaît de nos jours.

Construit en 1901, par la Compagnie Fives-Lille, sous la Direction de Monsieur Geoffroy, ingénieur, il se compose de 8 travées et sa longueur totale est de 553 mètres. Il relie les deux lignes ferrées qui sont parallèles sur les rives du Rhône.

Droits d’auteurs – carte postale personnelle (ne pas copier).

INFOS DU DIMANCHE

Bonjour à tous…

Et voilà, nous arrivons à la mi-octobre, c’est l’automne (que nous ne voyons pas trop encore, par ces belles journées ensoleillées) mais le froid du matin se fait sentir tout de même. Bientôt le changement d’heure encore… pendant combien d’années ? Toujours est il que ce n’est pas près d’évoluer à ce sujet. D’autres sujets plus importants occupent la France en ce moment.

Je voulais vous informer aussi de l’évolution de ce blog, commencé il y a trois ans 1/2 maintenant, celui-ci s’est enrichi de diverses parutions articles, soit sur les actualités, les photos, les voyages, cartes postales anciennes, un endroit pour rire aussi, et un espace tout nouveau maintenant, « l’histoire ». Beaucoup d’articles peuvent plaire aux lecteurs, je pense, et c’est avec plaisir que vous êtes les bienvenus ici. Un petit « com » également, fait toujours plaisir.

Bonne visite à vous et découvrez tout ce contenu. Merci.

LOUIS PROUST MAGISTRAT MAIRE DEPUTE

Louis-Adrien Proust, est le né le 4 Juin 1878 à Oucques-la-Joyeuse (Loir et Cher) et décédé le 31 Décembre 1959 à Nice. C’est un Magistrat, homme politique et naturiste français.

Droits d’auteurs – carte postale personnelle (ne pas copier).

1878 – 1959

Élève de l’École des sciences politiques, il est docteur en droit et diplômé de médecine. Il devient magistrat et maire de Neuillé Pont Pierre. Conseiller général, il est élu député d’Indre et Loire en 1919. Il fut constamment réélu jusqu’en 1936.

Il fut Président de la fédération nationale des Mutualités de France et d’outre-mer et du Comité républicain du commerce, de l’industrie et de l’agriculture.

FICHE DE LOUIS PROUST ASSEMBLEE NATIONALE :

https://www2.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche/%28num_dept%29/6518

MARECHAL DE LATTRE DE TASSIGNY

Jean de Lattre de Tassigny, né le 2 février 1889 à Mouilleron-en-Pareds (Vendée) et mort le 11 janvier 1952 à Neuilly-sur-Seine (Seine), est un officier général français. Héros de la Seconde Guerre mondiale, compagnon de la Libération, il est élevé à la dignité de maréchal de France à titre posthume.

Droits d’auteurs – carte postale personnelle (ne pas copier).

1889-1952

Jeune officier lors de la Première Guerre mondiale, il se bat sur différents fronts, dont Verdun. Il est blessé cinq fois et termine la guerre avec huit citations, la Légion d’honneur et la Military Cross.

Dans l’entre-deux-guerres, il participe à la guerre du Rif au Maroc, où il est de nouveau blessé. Il effectue ensuite une carrière d’officier d’état-major et de commandant de régiment.

Au début de la Seconde Guerre mondiale, en mai-juin 1940, plus jeune général de France, commandant la 14e division d’infanterie lors de la bataille de France, il tient tête à la Wehrmacht à la bataille de Rethel, en Champagne et sur la Loire, continuant à se battre jusqu’à l’armistice du 22 juin 1940.

Sous le régime de Vichy, il reste dans l’Armée d’armistice, où il occupe des postes de commandement à l’échelon régional, puis comme commandant en chef des troupes en Tunisie. Commandant de la 16e division militaire à Montpellier le 11 novembre 1942 lorsque la zone libre est envahie par les troupes allemandes à la suite du débarquement des Alliés en Afrique du Nord, il est arrêté et condamné à dix ans de prison pour avoir désobéi au gouvernement et, seul général en activité à le faire, ordonné à ses troupes de s’opposer aux Allemands. Il parvient à s’évader et rallie la France libre, fin 1943.

Après son ralliement à de Gaulle, il est l’un des grands chefs de l’Armée de Libération entre 1943 et 1945, s’illustrant à la tête de la 1re armée qui, après le débarquement de Provence du 15 août 1944, mène la campagne victorieuse, dite « Rhin et Danube », contre le Troisième Reich. Il est le seul général français de la Seconde Guerre mondiale à avoir commandé de grandes unités américaines.

Il est le représentant français à la signature de la capitulation allemande à Berlin, le 8 mai 1945, aux côtés d’Eisenhower, Joukov et Montgomery.

Commandant en chef des forces françaises en Allemagne en 1945, il devient inspecteur général de l’Armée de terre et chef d’État-Major général de la Défense nationale en 1947. De 1948 à 1950 auprès du maréchal Montgomery, il est le premier commandant en chef des Forces terrestres de l’Europe occidentale.

Fin 1950, il est envoyé redresser la situation sur le front indochinois, et cumule alors les postes de gouverneur de l’Indochine et de commandant en chef du corps expéditionnaire français en Extrême-Orient. Il remporte en 1951 plusieurs victoires importantes contre le Việt Minh mais, atteint par la maladie, il doit quitter l’Indochine dès la fin de l’année pour se faire soigner en France.

Mort le 11 janvier 1952, il reçoit des funérailles nationales pendant lesquelles il est fait maréchal de France.

MAQUETTES EN ALLUMETTES

Venu exposé chez nous en 2019, ce Monsieur a de la patience.

Faire les châteaux de la Loire, rien qu’en allumettes, quel exploit ! Bravo Monsieur.

Comme vous pouvez le voir ce sont de belles maquettes reproduites à l’échelle toutes faites avec des allumettes et collées une à une.Ce Monsieur fait cela à titre personnel et ne vend aucune pièce.Juste le plaisir de faire découvrir.

J’ai pu admirer et voir sur place ce qui m’a permis de faire quelques photos :

Mr Georget

LA VESPA – 1940

Née dans les années 1940, la Vespa devient vite si populaire que la marque remplace dans le langage courant le mot générique « scooter ». Son fabricant, Piaggio, a forgé au fil des ans un imaginaire devenu partie intégrante de l’identité culturelle européenne d’après-guerre.

Que de bons souvenirs de nos jeunes années !

https://www.retronews.fr/sports-et-loisirs/chronique/2022/09/27/la-vespa-histoire-du-plus-celebre-scooter-italienhttps://www.retronews.fr/sports-et-loisirs/chronique/2022/09/27/la-vespa-histoire-du-plus-celebre-scooter-italien

LE VIADUC DE GARABIT

Ce viaduc se trouve dans le Cantal.

Le viaduc de Garabit est un viaduc ferroviaire, ouvrage d’art, de la ligne Béziers à Neussargues (dite aussi ligne des Causses), permettant le franchissement des gorges de la Truyère. Il est situé sur le territoire des communes de Ruynes-en-Margeride et Val d’Arcomie dans le département du Cantal en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ce viaduc est un projet de l’ingénieur des ponts et chaussées Léon Boyer qui en confie la finalisation et la réalisation à Gustave Eiffel et sa société. Le chantier de sa construction ouvert en janvier 1880 se termine en septembre 1884 et sa mise en service est effectuée en 1888 par la Compagnie des chemins de fer du Midi et du Canal latéral à la Garonne concessionnaire de la ligne. Cet ambitieux ouvrage métallique, long de 565 m, qui culmine à 122 m au-dessus de la rivière, est alors le « plus haut viaduc du monde »1 ; jusqu’en 1886, son arche était également celle ayant la plus grande portée au monde.

Carte postale personnelle

LA NATURE EST BELLE ET LA FORET AUSSI – NE PAS DETRUIRE

Article NR Indre et loire

Après tous les incendies de forêt que nous connaissons en ce moment en Gironde, en Bretagne, en Charente (Angoulème). Un départ de feu qui démarre à un endroit précis puis dans d’autres secteurs en même temps, nous indique bien qu’il s’agit d’acte criminel de malades ou de personnes bien intentionnées afin de détruire toute notre forêt. Ce qui permettrait par la suite, peut-être, de construire des logements. Tout ceci me laisse songeuse et perplexe. Puis de la colère aussi, lorsque l’on sait que des habitants ont dû évacués, certains ont perdus la vie, les pompiers ont risquer leur vie également, tellement lourd à gérer !

Quand on voit l’état de notre planète avec le réchauffement climatique, les personnes devraient être conscientes que si un simple mégot tombe à terre, celui-ci peut déclencher un incendie avec le bois qui se trouve très sec, puis se propager très rapidement. Lorsqu’en plus, cela est intentionnel, cela devient criminel. Que les personnes incriminées soient punies à vie (malade ou pas, mais ne doivent plus ressortir dehors).

La cause de ce drame des feux de forêts est dû aussi aux gardes forestiers qui n’existent plus. Donc, de ce fait, aucune surveillance et les fraudeurs peuvent accomplir leurs gestes comme bon leur semble. C’est une HONTE !