Je suis allée au zoo de la Flèche (Sarthe) et celui-ci m’a émerveillé de part sa grandeur, où l’on pourrait s’y perdre facilement, puis la découverte de certains animaux que l’on n’a pas l’habitude de voir. Mais le seul inconvénient, c’est que le circuit visite n’est pas assez fléché et nous ne savons pas très bien où est le début et la fin de cette visite. Sinon, superbe et je le conseillerais à beaucoup.
Jour : 26 juillet 2020
LE DE-CONFINEMENT (suite)
Et voilà, ce qui était à prévoir avec ce dé-confinement trop tôt, plus toutes les autorisations faites pour beaucoup de secteurs, ajouté à cela les grandes vacances, on retourne vers une deuxième vague comme je laissais sous-entendre et ce qui n’est pas faux.
Déjà le taux de cas avérés en Bretagne, en Aquitaine et le grand Est, même avec les tests qui se révèlent souvent négatifs et qui contaminent d’autres personnes sont énormes. Je n’ose croire qu’entre le chassé croisé des juilletistes et les Aoûtiens, la vague ne se propage pas, car au contraire beaucoup de personnes déjà contaminés transmettre ce virus aux autres personnes saines, et qui souvent ont fait le nécessaire et l’effort de pratiquer les gestes barrières, et peu sorties aussi.
Avoir autorisé les départs en vacances est une FAUTE PRIMORDIALE, car c’est attiré du monde, faire tourner le tourisme peut-être, mais un gros risque pour la santé des citoyens. Entre cela, on interdit certains rassemblements et là on dit aux gens « Allez-y ». Des contradictions énormes et ceci pour l’argent et non pour le bien-être des citoyens. Donc, les vacanciers se sentaient libres après un confinement de trois mois et pour les jeunes surtout, les gestes barrières n’existaient plus.
Et la « vraie » deuxième vague est surtout à l’automne et entrée de l’hiver, car ce virus se plaît à basse température.
Je tenais donc à préciser ici ma colère envers les gouvernants de notre pays qui n’ont fait aucunement l’effort d’être à la hauteur de nos attentes. Recommencer le même scénario du début est indigne, sachant qu’une autre vague était possible.