Pour ceux qui habitent actuellement à Tours ou y ont vécu, cette clinique était très connue dans les années 1973/74 et très réputée.
L’inauguration a eu lieu le 7 Décembre 1973 et dès son ouverture celle-ci y a vu de nombreuses naissances, dont ma fille à l’époque, puis les années qui ont suivies également.
Je me suis renseignée aux archives départementales, pour connaître sa date de création et en quelle année cette clinique a fusionné avec d’autres établissement similaires. Et voici la réponse que je vous retranscrit :
« La Clinique du Parc, qui se trouvait 12 allée des Tilleuls à Chambray-lès-Tours, a fusionné en 2008 avec trois autres cliniques tourangelles pour former le Pôle Santé Vinci 1 avenue Alexandre Minkowski à Chambray-lès-Tours (tél : 02 47 22 21 11).
Nous conservons les dossiers de l’architecte Jacques Boille qui a construit cette clinique en 1972-1973.
La date d’inauguration apparaît sur le carton ci-joint : 7 décembre 1973″.
En parlant de Bruxelles dans une conversation soudain je me suis posé la question : pourquoi les choux de Bruxelles ? ce nom en particulier et l’origine ? Je me suis penché sur cette question qui m’a amené à ceci :
Le chou de Bruxelles serait un dérivé du chou de Milan. Il doit son nom aux habitants d’une ville voisine de Bruxelles, en Belgique. Au XVIIème siècle, afin d’optimiser leur rendement, les maraîchers de Saint-Gilles créèrent une nouvelle variété de chou qui se cultivait à la verticale et prenait ainsi moins d’espace.
La journée mondial du pull de Noël, « Christmas Jumper », se situe chaque année, le troisième vendredi du mois de décembre. Les amateurs de pulls de Noël s’empressent d’enfiler ces pièces colorées, ornées de père Noël, de rennes, de flocons de Neige, d’ours polaire, de sapins.
Cette tradition est née dans les années 50. Tricotés par les mères et les grands-mères, ils n’avaient pas à l’origine vocation à être « moches ». Ils étaient ornés de motifs rappelant la saison hivernale et offerts en cadeau aux enfants et petits-enfants qui les portaient pour les fêtes de famille.
C’est dans les années 1980 que les pulls moches de Noël font leur apparition sous les sapins, ils deviennent le cadeau par excellence, offert par les grands parents. Les pulls de Noël ou « Christmas jumpers » en anglais, aux motifs extravagants – rennes, sapins, flocons ou même Père Noël dans des positions humoristiques, sont rapidement devenus une source de moquerie affectueuses.
L’idée d’une fête bâtie autour de ce traditionnel cadeau est, elle, apparue au début des années 2000, grâce notamment à la sortie d’un film mondialement connu « Le Journal de Bridget Jones ». Dans ce film, on retrouve Colin Firth portant un énorme pull vert en laine avec pour motif central une tête de renne. Très rapidement après la sortie du film de nombreuses « Ugly Christmas sweater party » ont été organisées. Dans un premier temps lors de soirées à thème dans les universités puis lors de repas de Noël. Le phénomène s’est rapidement étendu à travers le monde, jusqu’à devenir une tradition bien ancrée, célébrée aujourd’hui dans plusieurs pays.
Cette année cela tombait le vendredi 20 décembre 2024.
En 1847, ils étaient cinq confiseurs à fabriquer leur chocolat à Blois. Le 25 juin 1850, faisant face à la concurrence, la première publication Poulain paraît dans le Journal de Loir-et-Cher. En 1865, Auguste Poulain crée le slogan «Goûtez et comparez» qui remporte un formidable succès à travers toute la France
De 1862 à 1872, Auguste Poulain fait construire sa première grande usine sur le site de « la Villette »2,4. En 1867, il construit un nouveau bâtiment servant à la fabrication du chocolat ainsi qu’à l’hébergement de sa famille. En 1872, il fait construire, au centre du domaine, le château de « la Villette », qui sert de nouveau foyer pour sa famille5. En 1879, la demande de chocolats étant de plus en plus forte, Auguste Poulain installe un nouveau bâtiment dans l’usine de « la Villette »2.
Ayant repris la direction de l’entreprise, son fils Albert Poulain décide, en 1884, de faire construire une nouvelle usine nommée « Beauséjour », sur le site de « la Villette »6. La nuit du 7 au 8 juillet 1918, un grand incendie ravage intégralement cette usine2,4. Elle est finalement reconstruite en 1918, juste après l’incendie, à la demande d’Albert Poulain4. Continuez la lecture ici :
Les 109 salariés de l’usine Poulain, situé à Villebarou près de Blois dans le Loir-et-Cher, sont soulagés. Le groupe Andros a décidé de reprendre le site dans son intégralité. Un plan de sauvegarde de l’emploi était mis en place, car l’usine devait fermer à la fin de l’année.
La manoeuvre à effectuer sur un téléphone portable, je mets la vidéo trouvée sur le net d’abord, ensuite je mentionnerais la procédure à effectuer pour moi qui possède un iphone, qui n’est pas du tout le même procédé.
Prendre une photo – je monte la photo bien délicatement jusqu’au détail de celle-ci – je clique sur instructions de lavage – et là j’ai l’affichage de tous les symboles.
( grâce à cet exemple finalement j’ai pu découvrir la vraie procédure pour moi).
Créé en 1925 par le militant breton Morvan Marchal, le Gwenn ha du s’affiche désormais comme le symbole incontesté de la Bretagne.
Neuf bandes alternativement noires et blanches, accompagnées d’un semis d’hermines, neuf pays, neuf évêchés : tel est le Gwenn ha du, le drapeau de la Bretagne. Le noir pour les pays gallo : Rennais, Nantais, Dolois, Malouin, Penthièvre ; le blanc pour les pays bretonnants : Léon, Trégor, Cornouaille, Vannetais. Un drapeau synonyme de diversité et d’unité.
Le Gwenn ha du signifie littéralement « noir et blanc », couleurs historiques de la Bretagne. Mais comment peut-on expliquer la composition du drapeau breton ?
– Les mouchetures d’hermine sont au nombre de 11. Le choix de ce nombre précis ne représente rien de particulier et demeure à ce jour inconnu. En revanche, l’hermine en tant que symbole n’a rien d’anodin. Mais nous y reviendrons plus tard
– Les quatre bandes blanches représentent les quatre pays de la Basse-Bretagne : Bro-Leon (Léon), Bro-Gernev (Cornouaille), Bro-Wened (Vannetais) et Bro-Dreger (Trégor). Le territoire de la Basse-Bretagne occupe la partie sud et occidentale de la région bretonne.
– Les cinq bandes noires représentent les cinq pays de Haute-Bretagne : Bro-Sant-Brieg (Saint-Brieuc), Bro-Zol (Dol), Bro-Sant-Maloù (Saint-Malo), Bro-Roazhon (Rennes) et Bro-Naoned (Nantes). Quant à lui, le territoire de la Haute-Bretagne occupe la partie orientale de la Bretagne.
La disposition s’inspire grandement de la bannière étoilée des États-Unis d’Amérique ou bien même du drapeau grec.
Origines du Gwenn ha du
Comme dit précédemment, les éléments dont dispose le drapeau de la Bretagne s’observent dans les armoiries de la ville de Rennes. On y retrouve les mouchetures d’hermine ainsi que les bandes blanches et noires, cette fois verticales.
Mais l’hermine et les couleurs blanches et noires ne sont pas réservés à la ville de Rennes. Auparavant, depuis le Moyen-Âge jusqu’à la création du Gwenn ha du en 1925, de nombreux drapeaux, blasons et autres armoiries utilisaient le blanc et le noir. Ces couleurs proviennent directement de la bannière blanche mouchetée d’hermine noire. Comme de nombreux autres symboles bretons l’hermine possède des origines anciennes.
Souvent, l’attribution du Gwenn ha du en tant que couleurs de la Bretagne s’est faite lors de la Guerre de Succession de Bretagne entre 1341 et 1364. On retrouve ces couleurs avec la croix noire (Kroaz du) utilisée par les templiers bretons ainsi que sur le pavillon à croix noire herminée qui se présente en tant que véritable ancêtre de l’actuel drapeau breton. Ce pavillon fut beaucoup utilisé par les ports bretons et flottes bretonnes au XVᵉ et XVIᵉ siècles.
L’hermine sur le drapeau breton
Pourquoi l’hermine se retrouve-t-elle sur le Gwenn ha du ? En quoi l’hermine bretonne représente-t-elle si bien la Bretagne dans son ensemble ?
Tout d’abord, il faut savoir que la moucheture noire de l’hermine représente en réalité sa queue qui, l’hiver venu, est la seule partie de sa fourrure qui reste entièrement noire.
La première apparition connue de l’hermine dans l’héraldique provient du blason “brisé” de Pierre de Dreux, duc de Bretagne. Originellement destiné à une vie au sein de l’Eglise, il aurait fait ajouter la bannière d’hermine au blason de son père afin d’y symboliser la pureté, à l’instar du lys français. En effet, l’hermine était autrefois exclusive au clergé.
Une autre provenance, plus légendaire cette fois, mettrait en scène Anne de Bretagne lors d’une partie de chasse, fut impressionnée par le flegme que lui évoquait une hermine préférant se laisser tuer par les chiens que de traverser une étendue boueuse. Elle gracia l’hermine et en fit son emblème. La devise de la Bretagne provient également de cette légende :
“Kentoc’h mervel eget bezan saotret” (”Plutôt la mort que la souillure”, pour les non bretonnants)
L’emoji drapeau breton
C’est l’histoire d’une union entre la Région Bretagne et l’association www.bzh qui, au mois de janvier 2020, ont lancé la campagne Twitter #EmojiBZH. L’objectif ? Convaincre le consortium Unicode à faire rentrer le Gwenn ha du au panthéon des emojis utilisables dans le monde entier et sur toutes les plateformes de médias sociaux.
Excepté les drapeaux de l’Écosse et du Pays de Galles, Unicode n’a activé aucun autre drapeau régional. À l’occasion de la représentation de la France par le groupe breton Alvan & Ahez à l’Eurovision 2022 avec leur chanson Fulenn, l’ #EmojiBZH a eu la possibilité de refaire surface jusqu’au 19 mai 2022 afin de permettre aux Twittos de brandir leur soutien à la Bretagne.
Acheter un drapeau breton
Envie d’arborer un drapeau de la Bretagne ? La marque AZ Flag propose un Gwenn ha Du breton aux dimensions 150×90 cm pour 7,45 €. Ce grand drapeau breton, conditionné à l’unité et reçu sous blister, est en polyester et possède des coutures doublées et des bords renforcés. De quoi tenir un match de football, un concert ou tout autre événement qui vous fait ressentir le besoin d’exposer la culture bretonne.
La pleine lune d’août 2024 aura lieu le lundi 19 août 2024 à 20h25 (heure de Paris). Une pleine lune sous le signe du Verseau qui sera extraordinaire puisqu’elle sera une Super Lune et une Lune Bleue.
La lune bleue c’est quoi ?
La pleine lune d’août 2024 sera particulière car ce sera une Lune Bleue… cependant ce n’est pas une lune bleue selon la définition la plus courante d’une lune bleue calendaire, qui est la deuxième pleine lune d’un mois civil. En effet, il n’y aura qu’une seule pleine lune en ce mois d’août 2024, alors qu’en est-il ?
Cette lune bleue sera en fait une lune bleue saisonnière, qui se produit lorsqu’il y a quatre pleines lunes en une seule saison astronomique, au lieu des trois habituelles.
Lorsque cela se produit, la troisième pleine lune des quatre est désignée comme une lune bleue. La dernière lune bleue saisonnière remonte à août 2021 et la prochaine n’aura lieu qu’en mai 2027.
La pleine lune d’Août est appelée aussi lune du maïs ou pleine lune d’orge. Car les champs sont prêts à être cultivés.
c’est la première Super Lune de l’année, ce qui signifie qu’elle paraîtra plus grande et plus brillante que les pleines Lunes que nous avons vues jusqu’à présent cette année, car proche de la Terre.
L’électroménager est apparu au début du xxe siècle aux Etats-Unis. En un siècle d’évolution la cuisine est devenue la pièce de la maison où les innovations ont été les plus importantes, révolutionnant les arts ménagers.
Les années 1930 voient l’arrivée des premiers réfrigérateurs, machines à laver et autres gazinières.
Dans les années 1960–70 les cuisines sont de plus en plus organisées et on observe l’apparition de premiers plans de travail unique où sont encastrés les premiers appareils électroménagers comme le lave-linge.
Les années 1980–90 sont marquées par les progrès techniques de l’électroménager, notamment la maîtrise des odeurs, et des buées. Elles sont aussi marquées par la personnalisation des appareils et notamment dans leurs couleurs et formes.
Les années 2010 signent l’apparition de l’électroménager dans le domaine des objets connectés.
Et en 2023 on peut dire que c’est la friteuse à Air Chaud qui fait fureur, surtout au moment des fêtes de Noël et surnommé le Air Fryer. C’est principalement une friteuse, cuisson moins grasse et plus saine, mais qui fait fonction de four aussi. Four économique en consommation électrique et où l’on peut faire cuire différents plats.
Leroy Merlin est une enseigne française de grande distribution spécialisée dans l’amélioration de l’habitat (construction, aménagement, décoration, bricolage et jardinage). Elle a été l’une des premières enseigne à se lancer dans le secteur de la décoration.
HISTOIRE :
À la fin de la première guerre mondiale, la famille Leroy, emmenée par Adolphe, un épicier installé à Nœux-les-Mines (Pas-de-Calais), crée une entreprise dont l’activité est la revente des surplus de l’Armée américaine restés sur le territoire français après la fin du conflit. En 1921, un premier magasin, appelé « Stock Américain » est ouvert à Nœux-les-Mines, au 79 rue de la gare.
En 1924, son fils Adolphe, né en 1901, épouse à Bruay-en-Artois Rose Merlin, une fille de commerçants née en 1898, originaire de Billy-Berclau. L’année précédente, il avait repris l’affaire auprès de son père Adolphe, bien qu’il souhaitât devenir pâtissier.
Les créateurs de l’entreprise constatent assez rapidement une augmentation de la demande en matière de construction et d’aménagement de la maison. Ils vendent donc des meubles et des produits de construction provenant des baraquements américains désassemblés car, jusque-là, le particulier ne pouvait se les procurer que par l’intermédiaire de leur artisan local. Par ce biais, ils inventent le marché du bricolage en France. Avec la découverte des maisons en préfabriqué, l’entreprise se lance dans les chalets puis dans l’aménagement de l’intérieur. Ils rachètent également à bas prix du matériel d’usines en faillite. Leur activité cesse pendant la Seconde Guerre Mondiale.
Entre 1952 et 1959, de nouvelles enseignes s’ouvrent à Merlimont, Longueau et Bruay-en-Artois (fief de la famille Merlin, aujourd’hui Bruay-la-Buissière). Leroy Merlin possède aussi des dépôts à Merlimont et Labuissière7.
À la fin des années 1950, Lionel et Bernard Leroy, les deux fils d’Adolphe et Rose, prennent les commandes de l’entreprise, tandis que leurs parents se retirent à Merlimont sur la Côte d’Opale. À leur mort, Adolphe Leroy en 1978, et Rose Merlin, en 1990, sont enterrés dans un cimetière de Merlimont.
En 1960, l’enseigne « Au Stock américain » devient « Leroy Merlin »10, puis en 1967, le premier magasin français de quincaillerie-bricolage en libre-service ouvre à Nœux-les-Mines dans l’enceinte des grands bureaux de l’ancienne fosse n°1 des mines de Nœux[réf. nécessaire].
En 1982, Bernard Leroy meurt dans un accident de voiture.
Je viens de voir ce nom LIP dans une info que j’ai regardé et qui m’a replongé dans mes souvenirs. Mais bien sûr ! les montres de l’époque 1960 on en parlait et beaucoup en avait eu, souvent la première à l’occasion de la Communion solennelle. . Mais cela remonte bien des années antérieures.
En 1867, Emmanuel Lipmann (1844-1913)4 fonde à 23 ans un atelier d’établissage dans la Grande Rue de Besançon sous l’enseigne « Comptoir Lipmann ». Ses deux fils, Ernest et Camille, reprendront par la suite l’atelier qui devient, en 1893, la « Société anonyme d’horlogerie Lipmann Frères ».
En 1896, le premier Chronomètre Lip est lancé. En un an, ce sont quelque 2 500 pièces qui seront produites5. Sa désignation devient une marque, le nom Lip apparaît sur tous les cadrans de montres issues des ateliers.